Aux Souvenirs Du Passé

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Un grand sourire se dessina sur ses lèvres, les deux femmes en firent autant fier de sa décision.
- Bon, on va se le prendre ce petit-déjeuner, en plus Colette va finir par s'inquiéter s'imaginant que l'on a abandonné...
- Attendez !! je voulais vous demander quelque chose...
- Vas-y, je t'écoute Julien ..
- Je voulais savoir... Si... vous pouviez me prêter un peu d'argent, pour aller chez le fleuriste avant d'aller chez mamie....
- Te prêter !!!... Non !!
Julien regarda Mme Marques les yeux écarquillés, ne comprenant pas son refus.
- Te donner certainement, je te rappelle que je garde ton argent...Dit-elle en souriant
Julien eu un souffle de soulagement et pour la remercier, il se leva allant l'embrasser sur la joue.
- Bon, on va se le faire ce dej, j'ai faim....Et mamie nous attend !!
Il se leva du canapé parti chercher son tee-shirt dans la salle de bain l'enfila et prit les deux femmes par le bras pour accélérer le mouvement.
Une fois à l'intérieur de la maison, le trio se dirige vers la cuisine pour y rejoindre Colette.
Une fois tout le monde dans la cuisine Julien fit un gâté à Colette en lui faisant des messe basse.
- Bonjour mamie...
- Bonjour mon petit..
- Merci d'être resté..
- Pourquoi me remercies-tu ? ... c'est grâce à Marie que je suis restée, même si au final je ne me suis pas trop fait prier.
Alors me remercies-tu ?
- Parce que grâce à toi, j'ai passé la plus soirée et nuit depuis des mois.
- Explique-toi mon petit, je ne comprends pas...
- En bref Laura et moi on est ensemble...
Colette s'écarta de Julien pour le regarder dans les yeux, le bonheur qui dansait dans ses iris verts la ravie.
Elle n'avait jamais vu Julien aussi serein et heureux.
Elle le resserra dans ses bras et avec plein de tendresse lui dit : « Soit et rend la heureuse et surtout prenait le temps de savourait votre bonheur ».
Julien se détacha de Colette, lui faisant un clin d'œil pour lui signifier que le message était bien passé.
La mère et la fille avaient fini de préparer le petit-déjeuner qui était d'un grand hôtel, elle savait recevoir leur haute.
Julien se tourna vers les deux femmes.
- Oh... Désolé on vous a même pas donné un coup de main...
- C'est pas grave Julien, on s'est bien rendu compte que Colette et toi aviez besoin de vous faire des secrets... dit Mme Marques avec un ton malicieux de sous-entendu
- Méfie toi Juju, je vais être jalousie... Dit Laura avec un grand sourire.
Sans que personne ne s'y attend et surtout pas Laura, julien s'approcha d'elle la saisi par la taille, la colla à lui en l'embrassant avec plein de tendresse.
Laura piqua un fard se faire embrasser devant sa mère de cette façon était une première, un sentiment de gène, accompagné d'exultation coulait dans ses veines, Julien montré ce qu'il ressentait pour elle devant une des personne les plus importantes de sa vie, ce geste l'a touché.
Quand il décela ses lèvres des siennes, il la regarda droit dans les yeux et à haute voix lui fit sa déclaration.
- Laura ça fait un an que je suis fou de toi et ça tu l'sais, car je te l'ai dit et je veux montrer aux yeux du monde ma sincérité.
Je t'aime comme un fou, t'es la femme de ma vie et rien n'y personne ne m'empêchera de t'aimer à présent.
Mme Marques et Colette applaudir, Laura se mit sur la pointe des pieds pour atteindre l'oreille de Julien.
- Moi aussi, je t'aime... Lui dit-elle avec tendresse
- Bon, ce n'est pas que je veuille arrêter cette belle séance déclaration, mais il ne faut pas oublier que demain, c'est le grand jour donc on déjeune et au boulot... Dit Mme Marques
- Ok mon général... Répondu Julien ce qui fit rire tout le monde avant cette journée intense.
Toute la tribu s'attabla, ils dévorèrent la totalité du déjeuner gargantuesque que ces dames avaient préparé, une foi finie et la table débarrassée chacun se mit avec son binôme pour ce préparé pour les épreuves du lendemain.
Julien se trouvait être plutôt détendu, il enchaînait les réponses sans trop de difficulté, il contrôlait parfaitement son stress face à Mme Marques.
En le voyant personne ne pouvait s'imaginer que pendant un an, il avait vrillé...