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Julien s'ébouriffa les cheveux, se frotta les yeux comme pour se remettre les images en placent, se lança dans un nouveau monologue.
- Ce samedi-là avait été très fructueux pour moi, mes ventes avaient explosé.
Je du faire deux fois l'aller, retour dans le jardin de ma mamie, tout mon matos y étaient passé, il ne me restait que ma conso perso et n'avait pas le courage d'aller voir mon fournisseur pour faire le plein et passé une heure à découper le tout.
Je décidais donc de passer un moment avec ma mamie, à discuter de tout et de rien en buvant des verres pour me mettre bien afin de préparer la soirée à venir.
Ce soir-là, c'était soirée « V.I.P » chez l'un de mes collègues, et qui dit soirée « V.I.P » dit (variante importante de produits) en libre-service, mais pas que ça alcool et pétasse sont de la partie.
Vers 20h00, je suis rentré à mon hôtel, j'étais déjà bien chaud.
Arrivé dans ma chambre, je fis direct l'expédition douche, qui fit un peu redescendre tout ça, me prépara, prit une barrette de shit, laissant le reste, tout en sachant que je n'en aurais pas besoin, bu une bonne rasade de sky et décolla.
Ce soir-là, je voulus payer l'hôtelier pour la semaine à venir, au bout de 3 coups de sonnette, il ne montra pas le bout de son nez, donc je traçais ma route, toute en me disant que je verrais ça le lendemain.
Le lieu de la soirée était à 25 min à pied, plutôt que de rejoindre les autres et y aller en voiture, je fis le parcourt à pied, l'air doux me faisait du bien, mais aussi beaucoup penser à mes parents, mes 2 meilleurs potes que j'avais lâchés, mais il me faisait surtout penser à toi.
La défonce était bien redescendue, ça me foutait le moral à zéro.
Je me suis roulé un joint, me suis arrêté au premier épicier que j'ai trouvé, pris un flash de whisky, que j'ai bu rapidement et continué ma route.
Le mélange m'a remis bien et à chassé toutes mes idées noires.
Arrivé à la soirée, j'ai continué à me tuer la tête, malgré mon état secondaire avancé, les choses qui me travaillaient, remontaient à la surface.
Le délire n'était pas de la partie pour moi, ce soir-là.
Au cour de celle-ci, une fille vint me voir.
Elle était plutôt pas mal.
Elle passa 10 min à essayer de m'allumer, même ça ne me faisait rien.
Elle me saoulait plus qu'autre chose, je pense que j'étais en plein Bad trip.
Me voyant peu entreprenant, elle prit mes mains, les collants à ses fesses.
J'eus une réaction à là quelle, elle ne s'attendait pas, j'enlevais mes mains aussi tôt.
Elle me regarda surprise en se mettant à crier : « T'es PD pour me résister autant !! ».
Tout le monde se retourna sur nous, à ce moment là, j'étais plus vexé par la réflexion, que par le faite que tout le monde ce retourne sur nous.
J'avais envie de lui cracher la vérité à la gueule.
Au lieu de ça, je préférai la blesser dans son amour-propre en lui intimant une humiliation de taille, elle m'avait foutu en boule.
Je lui répondis : « Je ne suis pas PD, comme tu veux le faire remarquer !!
C'est juste que les pétasses dans ton genre ne me donnent même pas une demie molle, même avec un sac-poubelle je ne pourrais pas te baiser, et vu ta gueule je sur que t'es même pas bonne à tailler une pipe !!! »
Elle devient rouge de honte, ouvrit la bouche, la referma aussi tôt n'ayant sûrement plus de réparti à me rendre.
Elle repartit la tête baissée sous la hué donneur que les autres lui avaient fait »
Un de mes collègues vint alors me voir en me demandant :
- Ça ne va pas Julien, c'est la première que je te vois cracher sur une Go aussi bonne !!!
- Oui, ça va, c'est juste que j'arrive pas à m'ambiancer ce soir.
- Attend, j'ai quelque chose qui va te détendre.
Il m'a tendu une pilule, avec une canette de coca, c'était la première fois que je prenais autre chose que du shit ou de la beuh.
J'ai gobé la pilule, bu le coca, en peu de temps la pilule fit son effet, je me mis à danser avec le premier pouf qui passait, je ne pensais plus à rien, j'étais de nouveau Stone en place quoi.
La soirée se poursuivait, on se chauffait sur la piste, je décidais de poursuivre notre tête-à-tête dans l'intimité des toilettes signe de grands respects quand certains s'afférer sur le canapé.
Laura fit une grimace qui fit rire Julien en lui disant ;
- C'est dégueulasse de faire, ce genre de choses en public, qu'elle manque de pudeur !!!
Julien se mit à sourire, un sourire un peu vicieux.
- Ce n'est rien ça, il y a certaine soirée qui finissent en orgie.
- C'est vraiment ignoble, je suis choqué !!
- J'en suis content, je suis sûr que tu ne feras jamais ce genre de soirée.
Bon, tu veux que je finisse de te raconter, mais souvenir où je m'arrête là.
- Non finis, je veux savoir tout ce dont tu te souviens jusqu'au moment où je t'ai trouvé, promis, je ne t'interromps plus.
- Bon, j'en étais où ?
- À tu as invité ta conquête du moment, à un rendez-vous galant dans l'antre des lieux d'aisances....
- Ah oui donc, direction les toilettes pour finir le travail, quand je me rendis compte que je n'avais pas de capote.
Je lui demandai, si elle n'en avait pas une dans son micro sac de pétasse, elle me répondit qu'elle n'en avait pas pris.
Je lui dis alors de m'attendre devant les chiottes afin de réserver la place, que j'allais en demander une à un pote, avant de la laisser, je lui roulai une pelle et glissai ma main sous sa jupe.
Elle ne portait même pas de culotte, mes doigts partir en exploration dans son jardin intime, elle était trempée, ce qui réveilla la bête en moi, tout ce dont j'avais envie, c'était de lui mettre et me vider les couilles....

Aux Souvenirs Du Passé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant