Fil Rouge

Chapitre 64

-Desperta te cariño. Debemos ir a visitar el apartamento en Bir-Hakeim. (Réveille toi mon cœur, on doit aller visiter l'appartement à Bir-Hakeim.) Dis-je en caressant sa joue et en embrassant son front.

-Mh... Je veux être réveillé comme ça tout les jours. Il souria et me tendit sa main pour que je la prenne.

-Prêt à acheter un appartement à presque 1 million? Rigolais-je en jouant avec ses doigts.

-Déjà je vends mon appart à 500 000€ et le tiens à 250 000€, pas besoin de faire d'emprunt.

Je souria à mon tour et on se prépara avant d'aller prendre un café à une terrasse en attendant l'agent immobilier.

-Monsieur Samaras? Madame Pecetta?

On se retourna et découvrit notre agent. Une fois nos consommations payées on se dirigea vers un grand immeuble moderne. L'ascenseur prit, on entra dans l'appartement. La vue était déjà à coupée le souffle avec la Tour Eiffel en gros plan et au loin le sacré cœur et les Invalides.
On fit un rapide tour du côté nuit où il y avait 2 chambres magnifique dont la suite parentale avec vue sur la Tour. Je voyais Ken qui me guettait du coin de l'oeil avec son sourire en coin. Le vendeur nous fit retourner dans la pièce principale.

-Je pense qu'on va faire une proposition au prix de vente. Proposais-je en regardant celui avec qui j'allais partager l'appartement qui acquiesça.

On s'assit donc à la table à manger et j'écrivis la lettre de proposition. Signée de nos deux noms, je la donna à l'agent qui nous promis d'appeler dans la journée pour en savoir le résultat.

-Il faut qu'il se dépêche de nous donner la réponses pour qu'on puisse vendre le tiens, commencer à amener mes cartons et faire les tiens avant de partir au Japon.

-On va avoir le temps, ne t'inquiète pas. J'ai déjà eu quelques rendez-vous, faut juste que tu sois pas là et que tu ranges ton bordel.

-Pourquoi tu veux que je sois pas là ?

-Parce que je passe pas par une agence et c'est moi qui vais faire la visite et je veux pas qu'ils achètent à cause de ta présence. Alors tu vas ranger tout ton bazar que je ne supporte déjà plus et t'ira au studio pendant ce temps.

-D'accord madame. Mais c'est plutôt grâce à moi que tu vas vendre.

Il me donna un coup de hanche sur le côté, pour riposter je lui frappa l'épaule. Cela faisait trop longtemps que je ne l'avais pas fais, malheur à moi; il avait prit des bras.

-Putain mais t'as mis de l'acier ou quoi? Ça fait mal! Je tâta ton biceps et il prît une voix de macho.

-C'est la salle bébé, pour mieux te protéger contre les méchants.

Il fit semblant de m'écarter le chemin devant moi en poussant légèrement les gens en faisant des bruits sabres lasers. Je soupira et le laissa faire au détriment du jugement des gens qui le regardaient comme un malade mental. Il s'arrêta quand on arriva devant la rame de métro.

-Je vous ai sauvé princesse. Ne me remerciez pas, je ne fais que mon devoir. Il bomba le torse et je lui mis un coup de coude dans le ventre qui le fit se tordre.

-Rappelle moi pourquoi j'ai voulu aménager avec toi à la base? Parce que là, je ne m'en souviens plus. On s'engouffra dans le wagon.

Je me tint à son corps comme pilier car n'ayant pas accès aux rampes vu le monde et ma taille assez petite et surtout l'envie d'être proche de lui, je faisais avec ce que j'avais. Un jeune homme, malgré les secousses du parcours, vint devant nous.