"Je t'aime maintenant, tu ne peut pas me laisser !"
Nina Jones est une jeune étudiante de 21 ans.
Ken Samaras, l'icône du rap Français.
Leur rencontre les a bouleverser et même changer.
Leur amour plus fort que tout.
Je sors de la douche et choisis une tenue assez simple.
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Je ramasse mes affaires et rejoint les garçons dans le salon, tous absorber par la télévision.
- Allez les gars ! On bouge.
Chacun se lève tranquille, en ne quittant pas la télévision des yeux.
Je me dépêche de prendre la télécommande sur la table basse et l'éteint.
- Putain Nina ! Souffle Framal. - Y avait un truc hyper interessant sur les tortues ! Grogne Areno avant d'ouvrir la porte.
Ken éclate de rire à la vue de ses potes dépités.
Il me prend par la taille et nous quittons l'appartement pour descendre par les escaliers. Panne d'ascenseurs, comme la moitié de l'année.
Je me mets à l'arrière de la voiture et laisse Areno prendre le volant, aucune envie de me faire hurler dessus par les garçons car je ne roule pas assez vite ou je ne sais quelle connerie.
Areno démarre et manque d'encastrer ma voiture dans une qui passer sur la voie.
- ARENO !! Hurlais-je de peur. - Désolé sœurette, je l'avais pas vue !
Je regarde Ken qui éclate de rire.
Tout le fait rire à celui là, il a aucun sérieux ce mec.
Je lève les yeux en l'air.
- Au faite, Jazzy Bazz nous rejoint là-bas, il veut nous revoir un peu ! Lance Framal en levant la tête de son téléphone. Et peut-être Antoine aussi, il est revenu de ses 6 mois de vacances le con. - Putain, je l'ai vue qu'une seule fois dans ma vie Jazzy et encore je m'occupe de sa carrière, dis-je en rigolant. Oh Antoine, il me manque celui-là ! - C'est ça d'être manager de plusieurs collectifs, avec beaucoup de frères ! Reprend Areno.
Je pose ma tête sur l'épaule de Framal, car malheureusement Ken est monté à l'avant.
On arrive dans une toute petite rue de Paris, ou seulement quelques personnes âgées se promènent.
- Voilà pour quoi on aime venir ici, personne ne nous reconnaît, rigole Framal.
Je contemple cette petite rue, ou quelques femmes ont sorties leurs chaises devant la maison pour piailler un peu, et les hommes devant leurs garages, tables sortis, jouent aux cartes.
J'apprécie cette rue, le calme, et la sérénité qu'elle inspire, c'est magnifique.
On marche quelques mètres avant d'entrer dans un tout petit bar où seulement quelques tables étaient disposés, seulement pour les habitués je pense, car il ne devait pas avoir beaucoup de visiteurs ici.
- Bonjours les gars, vous voulez boire quoi ? Demande le serveur. - Un coca pour moi, répond Framal. - Deux ! Reprend Areno. - Un ice-tea s'il vous plait, dis-je. - Rien du tout merci, dit Ken en balayant sa main.
On sirote nos boissons tout en parlant de tout.
Jazzy Bazz entre suivis enfin dans le petit bar et nous rejoint suivis d'Antoine, ils passent par le bar pour faire leurs commandes et ils s'assoient avec nous.
-Ça va frérot ? Demande Ken à Antoine pendant qu'ils se disaient bonjour. - Tranquille, salut sœurette, me dit-il.
Je souris et me lève pour lui faire la bise.
Jazzy finit enfin a dire bonjour après avoir dialoguer avec Areno.
- Vous vous en rappelez quand on a découverts cet endroit les gars ? Demande Fram. - Oh oui que je m'en rappelle, répond Antoine. - Racontez moi ! Insistais-je.
Ils rigolent tous , puis Framal commence.
- Tu vois quand on était jeunes et con, on se rendez pas compte de ce qu'on faisait. Donc on allait voler des trucs, pour éviter de les acheter, car on vas dire qu'on rouler pas sur l'or, on était tous des rappeurs à 10 balles que personnes voulaient et que personne croyait en eux. Donc on finissait les fin de mois comme on pouvait, et un jour, on a voler dans une boutique, une bouteille de jack, mais la mauvaise boutique, le mec nous a courser pendant plus d'une heure et on a réussis à ce cacher ici, Ken, Areno, Louis, Jazzy, Antoine, Théo, Mekra et moi, on a passer la nuit ici tellement on se chier de sortir de cette rue, et on s'est endormis sur un banc. Vas-y Ken finit. - Et le lendemain matin, on a découver ce petit quartier, animé, calme et reposant et on vient de puis qu'on a 18 ans quoi, finit Ken. - Et bien, je pensais pas que vous l'aviez connu comme ça, votre petit coin détente. - Chacun ses secrets! Reprend Areno. - Je vois ça !
