#8 (Réécriture ♡)

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Je la dépose chez elle et je file m'enfermer dans mes cours.

Je passe l'après-midi bloquer à lire, réviser et finir mes TP à rendre pour le lendemain.

Les notifications incessantes de mon téléphones n'arrête pas de me déranger, au lieu de les lires je l'éteint au plus vite et retourne à mes occupations.

Quelques minutes plus tard, j'entends la sonnette de mon appartement retentire. Je me lève et cours aller voire qui me rend visite.

J'ouvre et je vois le manager de Leyna, je ne comprend pas pour quoi il vient me rendre visite un dimanche soir.

- On peut parler quelques secondes ? Me demande-t-il.
-Oui aucun problème.

Je le laisse rentrer dans mon appartement. Il commence à me parler de Leyna, il me fait comprendre que son comportement à beaucoup changé depuis quelques mois, qu'elle n'a plus la tête au travail, qu'elle ne pense que à sortir mais qu'il ne sait pas où, chez Mo bien sûr mais je ne dis rien.

- Tu sais, Leyna à toujours aimer être extravagante, à toujours aussi aimer sortir et s'amuser. Son travail l'a coupée de tout, elle y a mit toute son énergie et son temps pour réussir, maintenant elle se relâcher un peu, pour profiter... Tu vois ce que je veux dire ?Lui dis-je avec un sourire le plus convainquant possible.

- Oui mais c'est pas le moment pour faire ça ! Il y a un gros contrat qui l'attend au Japon, c'est un tremplin pour sa carrière et elle compte refuser. C'est là que je ne l'a reconnaît plus, sa aurais été il y a quelques mois, elle aurait déjà accepter et serais partie pour le Japon le lendemain.

Je ne sais pas quoi répondre, car je n'ose pas lui dire qu'elle veut rester car il y'a Mo et moi, mais si il n'était pas au courant pour Sneazzy, je ferais une gaffe énorme.
Alors je me tais et je me contente de lever les bras et de faire rouler mes yeux.

Quand il est enfin partie, j'appelle Leyna pour lui raconter ma discussion avec Arnaud.

Elle compte l'appeler le lendemain matin, à la première heure et lui dire que maintenant il y a Mo dans sa vie, qu'elle ne compte pas faire tout le temps passer sa carrière, car il y'a Sneazzy et moi.

Elle raccroche, je me sens vide, je me demande si elle n'est pas en train de gâcher toutes ses années d'acharnement au travail.

Je retourne bosser jusqu'à 20h, le moment où mon ventre me rappel que c'est l'heure de dîner.

Je me fait un steak haché et des pâtes, le meilleur remède quand on se rappelle que l'on a cours le lendemain.

Je me pose quelques minutes pour regarder « Clique Tv » en replay.

Je me pose dans mon lit, en repensant à cette journée, je laisse dévaler quelques larmes pour mon père et allume sa bougie à côté de moi, c'est mon petit rituel chaque année, et je m'endors...

Mon réveil me fait sursauté de mon sommeil, un peu trop tôt à mon goût mais je me lève. Je déjeune et décide de regarder les notifications d'hier.

« @neklefeu vous a envoyé un message »

Cette notifications se comptais si belle permis les nombreux likes inhabituel sur mes photos Instagram.

Je décide de lire son message avant tout.

« Salut ma belle, dés que tu es libre un soir bip moi et on iras boire une verre. »

Puis au dessus qu'il m'a identifié dans sa story, il a mit l'une des plus belles photographies de mon Instagram en m'identifiant, ce qu'il m'a fait connaître.

Je suis tellement heureuse que plusieurs gens regarde mon travail, je suis heureuse et cette début de matinée semble être bien partie.

Je lui répond et file à la douche, sous la douche je repense à son petit sourire et toutes ses petites manies qui me font craquer.

Je pars en cours, j'arrive devant ma fac quand plusieurs étudiants se ruent sur moi. Je ne comprend pas ce qu'ils me veulent.

- Genre Nekfeu il t'a identifié dans sa story ? Dit- l'un permis eux.
- Tu le connais ? Dit- un autres.
- Laisser tomber elle l'a sucer cette p**e, dit-une voix féminine cacher derrière cette masse de personne.

Tout le monde s'écarte, elle se trouve maintenant devant moi, à quelques pas, je l'a reconnais bien, Pauline.

L'une des pires garces de ma fac. Je pensais que une fois rentrée à la fac, j'allais éviter ce genre de personne, mais non, elle croise mon chemin encore et toujours. 

Sa fais 2 ans, 2 ans qu'elle continue de m'harceler, jusqu'à appeler ma mère pour lui dire des conneries sur moi.

C'est la goutte de trop, mes nerf montent, plus je regarde son visage avec son sourire narquois plus mes points se ferment et forcent.

Je m'approche d'elle. Tout près d'elle.

Je l'a poussé, assez fort pour que elle glisse de ses talons et se retrouve à terre.

Merde, merde, qu'est ce que j'ai fais là, oh non Nina tu es morte...

Bien sûre, elle se relève au plus vite et s'approche de moi, je vois son point arriver au plus prêt de mon visage, je l'évite et nous voilà en train de nous battre.

Deux filles, la féminité est partie, je pensais jamais en arrivée là un jour, mais je ne suis pas en tord.

Les coups s'enchaîne, je n'en reçois seulement un au niveau des côtes, je n'arrive plus à respirer, je continue avec le peu de respiration que j'ai. Voilà qu'on me sépare d'elle. Les hurlements, les rires, tous les sons tournent dans ma tête.
C'est trop pour moi.

- ARRÊTE NINA ! Arrête ! Tu vas l'a tuer, lâche là ! Dit -la voix qui me tenais les deux bras en me portant pour me retirer de son corps.

Elle ne bougeait plus, elle avait les deux mains sur son visage, elle venant de s'évanouir, mais qu'est ce que j'avais fais...

J'allais être virer de ma fac... mais Nina ! Qu'est ce que tu as fais pour être comme ça, tu as 21 ans pas 12 !

La fac décide de nous expulser 1 semaine.

Je rentre chez moi, me blottir dans mon canapé avec mon fameux plaid, et m'endors sagement, pendant que les quelques larmes continuent de dévaler mon cou. 

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Voilà la partie 8 de cette fanfiction.
J'espère qu'elle vous plaira !
Nous sommes le jour de la rentrée des vacances, j'espère que c'est pas trop dur pour vous.
Je vous laisse ce petit chapitre, pour vous détendre de la journée de cours que vous avez eu.

Mon Instagram: nekk.lefeuu

Je remercie aussi les comptes Instagram  @riles_stories et @nekfeunek_ qui m'ont mit dans leur story pour m'aider !

Bisous, Manon.


Feu dans le coeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant