Chapitre 17

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Nous sommes assis depuis plus d'une bonne dizaine de minutes sur ce banc qui est installé près d'un petit lac où se trouvent quelques canards. Ils sont tous à faits mignons. Aussi mignon que le beau brun installé à tes côtés, me souffle ma conscience.

Nan. Bien sûr que non. Stephen est beaucoup plus mignon et sexy que ce petit canard qui passe en ce moment même devant mes yeux. Il nage tranquillement dans l'eau profonde de ce lac enfin de rejoindre son groupe d'amis.

Je sursaute soudainement à cause des pensées qui me traversent l'esprit depuis quelques secondes. Merde. Sérieusement ? Suis-je vraiment entrain de comparer un canard à Stephen ? Un rire nerveux sort soudainement de mes lèvres ce qui attire l'attention du bel apollon installé à mes côtés. Près de moi. Beaucoup trop près de moi.

-- Il t'arrive quoi ? me demande-t-il en souriant.

-- Rien. Enfaîte si. J'étais en train de te comparer à un canard dans ma tête et ça m'a fait rire.

-- Sérieusement ? J'ai l'air de ressembler à un canard ? me demande-t-il amusé.

-- Hormis le fait que le canard n'est pas de tatouage..commençais-je en souriant.

La grande main tatouée du brun s'enroule autour de ma nuque ce qui me fait frissonner instantanément. Pourquoi ces frissons ? Sérieusement, il ne fait que de me toucher je ne devrais pas réagir de cette façon. C'est la réaction typique de la collégienne à son premier rencard. Je suis pathétique.

-- Je suis à deux doigts de te balancer dans le lac, me menace le brun en appuyant sa main contre ma nuque.

-- Pas si, je te balance avant. J'ai beaucoup plus de muscles que toi crétin.

Ouais je sais, je joue avec le feu mais j'adore ça. Puis avec Stephen c'est naturel.

-- Ah ouais ? s'exclame-t-il en souriant de toutes ses dents.

-- Ouais.

Suite à ma confirmation, le brun se relève et la seconde d'après avant même que je ne puisse me mettre à l'abri d'une éventuelle attaque, il m'attrape par la taille et me balance sur son épaule.

-- Relâche-moi ! m'écriais-je en frappant son dos de mes mains.

J'aurais dû m'en douter qu'il n'allait pas laisser passer mes dires.

-- Pourquoi ferais-je ça ?

-- Parce que tu m'adores et que tu ne voudrais pas que ta chieuse préférée soit malade.

Good Fire | Stephen James | Où les histoires vivent. Découvrez maintenant