032.

12.8K 1.2K 489
                                    

22:00 - Cave 07
{ Bilel }

J'étais dans la cave où il y avait toutes les armes. J'avais la haine, personne pouvait m'arrêter.

... : Tu fais quoi ici ?

Sauf lui..

Moi : Baba j'ai le démon la, laisse moi faire ce que j'ai à faire.

Il a pas répondu et est venu devant moi. Mes sourcils étaient froncés, mes veines sortaient. Aïda moi j'suis attaché à elle, j'ai pas aimer le fait qu'on la touche, qu'elle souffre.

Je vais lui niquer sa mère.

Baba : Y'a quoi?

Moi : Ils l'ont touchée Baba. WAllah Hamza je vais lui niquer sa grande mère, j'men bats la race.

Baba : T'a la haine ?

Je l'ai regardée sans savoir pourquoi il me posait cette question. Bah ouais j'avais la haine.

Baba : - hausse le ton - T'a la haine ou pas ?

Moi : Bah ouais.

Baba : Va le niquer sans arme. Si t'as le seum, si t'a la haine wAllah tu vas le niquer sans problème.

J'ai posé les armes et j'ai soupirer en regardant le plafond.

Baba : J'Veux pas que tu touches à ça Bilel. C'est des grands de la cité qui m'ont dit que t'étais là, j'veux pas que tu touche à cette merde..

Moi : Papa wAllah je.. - soupire - Vas-y.

Baba : C'est qui cette fille ?

Moi : Aïda. - s'assoit sur une chaise. -

Baba : La fille de Nabil ? - sourit au coin -

Moi : Ouais..

Baba : J'aime bien cette fille, elle est belle. J'valide. Azy va niquer le fils de pute qui l'a touché.

J'ai pas répondu, il m'a donner une accolade puis je suis parti dans la voiture de Mam's.

Moi : - s'attache - On fait le tour de la ville, dès qu'on le voit je lui nique sa mère.

Il a pas répondu et a roulée. On roulait depuis 1h, il était déjà 5h du matin. J'étais deter, j'aurai pu tourner toute la journée ça m'aurait pas déranger.

Moi : - murmure - Gare toi, il est là.

Il s'est garé, Hamza quand il m'a vue il a sourit. Il a dit à ses gars de pas séparer, il m'a mit un coup de poing, deux coup de poings, il menait.

J'lai balayé, j'suis monter sur lui j'lui donnait que des coups de poing. Il essayait de me pousser mais en vain, wAllah fallait pas la toucher c'est tout. Je le cognais jusqu'à arrêter de respirer, mes poings ils saignaient.

J'avais la haine parce que de un, il m'a mis deux poings et un chasser et de deux car il a toucher Aïda.

... : Wesh laisse le.

Moi : - le regarde - Il a dit de pas séparer, donc séparez pas.

Je me suis levée, deux coups de pieds sur le visage, un sur la bite, trois dans le ventre puis je lui ai craché dessus, un gros cracha bien comme il faut.

Moi : T'a touché Miraa, je t'ai niquer ta mère. T'a cru que en touchant Aïda j'allais rien faire, wAllah touche encore à un d'entre eux j'te baise tout tes morts. T'a compris ?

Hamza : - gémit -

Moi : - lui met un chasser - T'a compris ?

Hamza : Ou.. - gémit - Oui.

Je l'ai regardée une dernière fois et je suis montée dans la voiture. Personne parlait mais un moment Mamedy il a commencé à rigoler tout seul.

Moi : - rit - Wesh y'a quoi toi ?

Mamedy : - rit et cri - Comment tu lui a niquer sa mère.

Moi : - rit - wAllah au début j'ai eu peur j'ai cru il allait me niquer t'es fou.

Mamedy : Tship, j'te connais. Hamza c'est un vieux gars wAllah t'aura fini par le niquer.

On a rigolé encore puis pour m'apaiser bien comme il faut j'me suis posé dans ma voiture, quelqu'un est rentrée, je pensais c'était Mamedy.

... : Ça va beau gosse ?

Moi : wAllah enlève tes fesses sale d'ici.

Lionna : Mais quoi - rit - Aïda s'est bien fait niquer ?

Je l'ai fixé, elle est sah?

Moi : Ouais, et ton pote Hamza aussi.

Lionna : - soupire et hausse les épaules - Oh tu sais, je sais que tu m'as vue sucé dans la cave et tu sais pourquoi je l'ai fais ?

Moi : Lionna je vais te niquer ta grand mère si tu bouges pas d'ici.

Lionna : - rit - Je l'ai sucé car c'est moi qui lui ai dit de frapper Aïda, et pour le remercier j'ai dû faire ça.

Je l'ai regardée et je l'ai giflée. W'Allah c'est venu tout seul, j'en avais rien faire.

Lionna : - pleure - T'es sérieux tu me frappes ?

Moi : Casse ta gueule ou j'te fais pire.

2018, génération de fou hein.

𝖤𝗅𝗅𝖾 𝗆'𝗋𝖾𝗇𝖽 𝗌𝗍𝗎𝗉𝗂𝖽𝖾 [ 𝖯𝖺𝗋𝗍 𝖨𝖨 ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant