ℌ𝔲𝔦𝔱

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                              Soukaïna

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                              Soukaïna

                      Deux semaines plus tard...

Allonger sur mon lit comme depuis maintenant deux semaines, je venais tout juste de jeter mon quinzième mouchoirs par terre. Après m'être moucher le nez suite aux nombres de larmes qui coulaient le long de mes deux joues.

Plusieurs jours et semaines sont passer après ce qu'il s'est passer avec Bilel, et pour tout vous dire j'en revenais toujours pas.

Une partie de moi ne cesser de me dire que c'était une blague, et qu'il se foutait ouvertement de ma tronche. Mais lorsque que je l'est surpris, me supprimer et me bloquer de partout. J'ai commencer à prendre la situation aux sérieux...

Je passe toutes mes journées entières avec moi même et mon chagrin, j'ai couper contact avec tout le monde. Que se soit Nawell, Issa ou même Kaïs. Je ne veux parler à personne...

Sortir même de ma chambre pour aller au salon c'est difficile pour moi, dès que je sors de celle-ci. C'est pour aller au toilette, ou prendre une bonne douche.

J'ai fais croire à mes parents que j'étais malade, sachant qu'ils sont hyper compréhensibles. Ils n'ont pas chercher plus loin pour savoir ce qu'il m'arrivait, tandis que Aya et Saïd ne croyaient pas un mot de ce que je leur disais...

Au moment où je vous parle, j'étais toujours entrain de pleurer jusqu'au moment où mon prénom se fait entendre depuis l'extérieur.....

Étonner, j'ai ouvert la fenêtre en tombant nez à nez avec Kaïs... j'ai souffler d'agacement en lui demandant qu'est qu'il venait foutre ici.

Kaïs : Te parler !

Moi : J'...j'ai pas envie.

Kaïs : Ça fait deux semaines que tu donnes plus de nouvelles, à force ça devient relou. Avec Nawell et Issa on s'inquiètent pour toi !

Moi : ...

Kaïs : Laisse moi monter, je reste pas plus de dix minutes.

Moi : Bon d'accord...

Je l'est aider à monter, puis il a atterrit dans ma chambre en fermant la fenêtre derrière lui. Je suis parti fermer la porte de ma chambre à clef, et il s'est mit à analyser ma chambre d'un air ahuris.

Kaïs : Ah ouais... t'es vraiment dans une grosse dépression toi.

Je n'est pas répondus à son commentaire, et je me suis mise à ranger tout les dégâts que j'avais commise par honte...

Kaïs : Vient là en tapotant une place à coter de lui j'ai appris ce qui t'es arriver, j'suis choqué sah.

Moi : Tu n'est pas le seul...

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant