𝔇𝔦𝔵-𝔥𝔲𝔦𝔱

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Soukaïna

En pleurs, j'étais actuellement assise sur le canapé du salon. Face à mes parents, Saïd et Sajid. Après avoir prononcer mon prénom, d'un ton plutôt strict. Mes parents ont fait leur entrée dans la maison suivis d'Aya, ils lui ont ordonner de filer dans sa chambre. Car ils ne voulaient pas qu'elle est à faire à notre discussion.

À première vue, ils avaient l'air totalement dégoûter de ma personne. Ce qui avait le don de me rendre plus mal, que je ne l'étais déjà.

Je ne savais quoi dire, et ni quoi faire, face à ces accusations. Ça me déchirer le cœur de me dire qu'ils me croyais capable de faire une tel chose, avec l'homme que je considère comme mon meilleur amis depuis les petites couches en plus de ça...

Je ne savais même pas si Kaïs était au courant qu'une vidéo de lui avait était diffuser aux yeux de tous, j'avais extrêmement honte de moi même. Hors que je n'est rien fait, à chaque fois que tout commence à redevenir normal dans ma vie, il y'a toujours un événement qui vient tout détruire encore une fois.

Qu'est-ce que j'allais faire maintenant que tout le monde croit que j'ai quelque chose avoir avec la fille qui se faisait passer pour moi dans cet vidéo ? Moi qui avait plutôt une bonne image aux yeux des habitants du quartier, et bah là on peu dire qu'ils vont tous me regarder de haut en me critiquant de tout les noms.

Rien quand pensant à la manière dont les gens m'insulterait une fois les pieds dehors, des larmes d'angoisse me sont revenus. Et Saïd qui était entrain de perdre patience, m'a inciter à parler en me disant :

Saïd : Hé arrête de pleurer pour rien, tu fais des bêtises et après tu pleures ? wAllah arrête ça Soukaïna, et sur le coran que j'vais te renvoyer à l'orphelinat et là tu pourras aller faire ta pute sans nous foutre la honte.

Maman : Saïd !

« Et sur le coran que j'vais te renvoyer à l'orphelinat et là tu pourras aller faire ta pute sans nous foutre la honte ». C'était la phrase de trop, j'me suis carrément mise à sangloter quitte même à avoir des douleurs aux poumons. Je n'en pouvais plus du tout, voyant bien que j'étais au plus bas. Ma mère ordonna à Sajid d'aller me chercher une bouteille d'eau fraîche, qu'il est venus me donner quelques secondes après.

Je l'est remercier, puis j'ai porter cet bouteille à la bouche. Une fois calmer, et mes esprits reprit. Mon père a prit la parole.

Papa : Soukaïna... dit nous la vérité d'accord ? Je ne vais pas te juger en t'insultant de quoi que se soit, et tu le sais n'est ce pas ?

Moi : M...mais p...papa j'ai rien fait !

Saïd : M...mais p...papa j'ai rien fait ! Il m'imite on voit bien que c'est toi sur cet putain de vidéo, alors qu'est-ce ta à mentir ? Eh sur ma vie que... il se mord le poing tu me dégoûtes ! Il s'en va.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant