𝔔𝔲𝔞𝔯𝔞𝔫𝔱𝔢-𝔮𝔲𝔞𝔱𝔯𝔢

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Omniscient

Les nuages qui commençaient à se former, laissaient apparaître un temps, plutôt grisonnant. Signe qu'il s'apprêtait à bientôt pleuvoir. Tandis que le violent vent qui faisait son apparition peu à peu, a accompagner avec lui. Certains arbres qui bougeait aux rythmes de cette dernière.

Aucune onde, d'être humains ne se trouvaient dans les parages. C'est comme si, l'heure du couvre feux avait sonner. Et, que chacun devait être chez soit. Or, pas du tout.

Le temps actuel, rimer bien avec la situation. Dont Faïza faisait face à l'instant même.

Debout, le regard vide. Diriger vers les hauts bâtiments de son quartier. Cette dernière s'apprêtait à commettre l'irréparable, en mettant fin à ses jours. De la manière la plus abominable qui puisse exister.

                        En se suicidant.

Elle en avait marre de sa vie, marre d'être le pion de Marero. À chaque fois qu'il a besoin d'elle, marre de jouer la comédie à toutes bonnes occasions qui se proposent. Marre, d'être celle qu'elle est devenue par sa faute à lui, et marre de se battre pour une cause qu'elle ne trouvera jamais. Sa famille.

Sa place pour elle à cet instant même, était dans un cercueil. Ou même, carrément enfer. Elle voulait connaître le châtiment qu'elle méritait tant, bien qu'elle y est déjà goûter un avant goût. En vivant un horrible calvaires, aux côtés de Marero. Elle voulait juste avoir ce qu'elle méritait, et que toutes personnes. Qui ont eu la peine de croiser son chemin, oublient son existence.

Ainsi, le moment tant attendus arriva pour la jeune Faïza. Qui s'apprêtait à faire son grand saut, depuis le quinzième étages du bâtiment. Où, elle s'y trouvait.

Elle ne pensait plus à rien, ni même à Saïd. Ni, même à elle. C'était, son choix.

Au même moment, elle souffla un bon coup. Comme pour évacuer la pression qui étant cacher en elle, avant de regarder le paysage qui s'offrait devant elle une dernière fois, prête à se tuer volontairement.

Dans le point de vue de Marero, il venait tout juste de renvoyer son « plan cu ». Comme il aime l'est appeler, à la porte. Sans pour autant lui donnait l'argent que cette dernière réclamer, après avoir passer un moment torride à ses côtés.

Enculer de merde, c'est comme ça que moi j'le surnomme.

Vêtue juste d'un caleçon, qui cachait son intimité. Ce gros lard, c'est mit à crier le nom de Faïza. Dans toute la maison, histoire qu'elle vienne lui préparer un petit en-cas, car son ventre commencer à crier famine.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant