𝔙𝔦𝔫𝔤𝔱-𝔮𝔲𝔞𝔱𝔯𝔢Sajid
Moi : Putain, putain déjà qu'elle sait pas baiser. Elle prend cent ans pour m'acheter des fringues zebi !
Vêtue d'une serviette blanche enrouler sur la taille, j'étais actuellement dans le salon de Nawell. En étant entrain de faire les quatre cent pats, dû au temps qu'elle prenait au centre commerciale.
Ça faisait plus d'une heure que j'lavais envoyer, en lui laissant ma carte bleue. Si seulement j'apprends que le temps qu'elle a prit, était dû à des dépenses qu'elle a faite derrière mon dos. Pour aller s'acheter des talons et tout les trucs de timpes avec ma thune, j'la viole, et elle finira comme Nayla et Kaïs.
Toujours dans mes pensées les plus sombres, je n'avais même pas remarquer qu'elle venait tout juste de faire son entrer dans la maison. En prenant bien la peine de me balancer ce que je lui avait demander de m'acheter en pleine figure et ma carte bleue y compris.
Nawell : T'en fait pas pour ta carte bleue, ta qu'à vérifier tes comptes. J'ai rien gaspiller.
J'ai pas répondus à ce qu'elle m'a dit, et j'ai pris mes vêtements par terre avant de m'enfermer dans la salle de bain. Une fois habiller, je l'est rejoint dans la salle à manger. Là où elle était installer, accompagner d'un chocolat chaud à porter de mains.
Nawell : Tu veux manger ? Sert toi.
Moi : J'aime pas manger le matin.
Nawell : Très bien.
Et, suite à ça. Elle a fait comme si j'existais pas. Ce qui avait le don de m'agacer fortement, je pense que je suis rester suffisamment calme. Pour encore tolérer le fait qu'elle m'ignore pour je ne sais quel raison.
Moi : Bon c'est quoi l'bourbier la ? Elle me regarde c'matin c'était limite même si tu te forçais à pas me parler et à me dire bonjour. Là, tu rentres. Et tu me balances mes affaires à la figure, comme si j'étais un vulgaire chien. Et le pire dans tout ça, c'est que tu m'calas pas depuis hier soir. Pourtant tu gémissais bien quand...
Nawell : Elle me coupe la parole nan sérieusement tu la fermes !
Moi : En fronçant les sourcils répète un peu pour voir ??
Nawell : En articulant j'ai dis tu la fermes ! T'es sacrément culotter comme mec !
Moi : J'peux savoir ce que j'ai fais ? T'sais, les devinettes c'est pas trop mon diez.
Nawell : Et en plus de ça, tu fais celui qui ne voit pas de quoi je veux parler ? Le comble !
Moi : J'tassure, j'vois pas de quoi tu parles. En m'installant confortablement sur le dossier d'ma chaise explique toi, j'suis tout à toi.
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Soukaïna - Le Prix d'Une Vie
Teen FictionOriginaire de la Palestine et orpheline depuis son plus jeune âge, Soukaïna a été transférée en France dans un orphelinat, là où elle a été adoptée par une famille composée de cinq membres six ans plus tard. En faisant la rencontre de cette dernière...