𝔙𝔦𝔫𝔤𝔱-𝔢𝔱-𝔲𝔫

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                            Soukaïna

Sajid : Il me coupe la parole baise ta mère, il ferme la porte derrière lui j'vais t'montrer qui est le Sajid sous l'emprise de ses deux putains de maladies. T'es pas prête, gitane.

Suite à ce qu'il venait de dire, un sentiment de peur m'a envahis à l'instant même où je l'ai vu se rapprocher de moi.

Prise de panique, je me suis mise à reculer pour ne pas qu'il me fasse du mal. C'est comme si, tout se passait au ralentit. Je redouter extrêmement ce qu'il compter me faire, et si il allait me tuer ? Me dit une voix dans ma tête.

Toujours dans mes pensées les plus sombres, en imaginant toutes les cruelles choses qu'il pourrait me faire. Je n'avais même pas remarquer qu'il venait tout juste de balancer les dossiers que je tenais dans ma mains au sol, en saisissant mon coup à l'aide sa main droite en me plaquant contre la vitre de sa fenêtre par la suite.

Un duel de regard c'est installer entre nous, j'avais comme l'impression d'être rentrer dans son intimité en découvrant le lourd secret qu'il nous cachait depuis un bon moment.

Les minutes défilaient, et il n'avait toujours pas dit un mot. Sans lâcher mon coup, en ayant mal. Je me suis excuser au près de lui, en lui suppliant de me laisser tranquille.

Sajid : Te laisser tranquille ? Il rit nerveusement nan tu blagues toi !

Moi : J...je n'est pas voulus découvrir ça, je suis tomber et par hasard je suis...

Sajid : En me coupant la parole FERME TA GUEULE !

Moi : ...

Sajid : J'tai une seule fois autoriser à rentrer dans ma chambre ?

Moi : N...non.

Sajid : Il me gifle ALORS POURQUOI TU L'FAIS HEIN ? T'EN FAIT QU'À TA TÊTE !S'PÈCE DE P'TITE CONNE !

Moi : En me tenant la joue qu'est-ce que tu viens de faire là ?

Sajid : Te gifler, quoi ? Tu vas m'frapper ? Il rit essaye juste, j'vais te dresser comme mon goss et tu iras pleurer toutes les larmes de ton corps comme tu as l'habitude de le faire !

En étant énerver qu'il relève la mains sur moi pour la énième fois, je faisais tout mon possible pour ne pas pleurer. C'était décider, je ne compter plus me rabaisser devant lui pour qu'il est ce qu'il veut de ma part. C'est à dire, verser des larmes pour sa gueule.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant