Originaire de la Palestine et orpheline depuis son plus jeune âge, Soukaïna a été transférée en France dans un orphelinat, là où elle a été adoptée par une famille composée de cinq membres six ans plus tard.
En faisant la rencontre de cette dernière...
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Soukaïna
Moi : En la serrant contre moi dis ? Ta pas quelques photos de mes parents, ou même d'ma famille ?
Hanane : En se détachant de moi si,si bien sûr attend deux secondes ! Par contre des photos de ton père, j'ai réussi qu'à en avoir une seul en faisant ma petite enquête sur lui.
Au même moment, elle se mit a fouillé dans son sac. Pour me sortir par la suite, un album photos de taille moyenne. Encore pour le coup, ça va.
Mais sans faire attention, elle fit tomber une petite image qui attira mon attention. Je posa donc mes yeux sur celle-ci, et j'ai cru halluciné. En voyant la même photographie que j'avais découverte la fois dernière dans la chambre d'Isaac, avec ce fameux Abdallah. Qui n'était personne d'autre que mon père biologique.
Un « Oh mon Dieu », est sortie de ma bouche. En remarquant cette découverte, et que tout les éléments manquants du puzzle, étaient en train de se former dans ma tête.
Je n'en revenais pas. Soudain, le flash-back du jour ou mon père adoptif m'a avoué qu'Abdallah été son meilleur amis, m'est revenus à l'esprit.
C'était donc lui ? L'homme dont Isaac m'a parlé été en réalité mon père...
J'étais tiraillé, je ne savais pas quoi pensée à cet instant même. Voyant mon expression faciale, assez surprise. Ma tante Hanane a directement ramasser la photographie qui se trouver toujours par terre, avant de me la monter du bout de ses doigts. En me demandant des explications, face à ma réaction qui lui a sans doute dû lui paraître « bizarre ».
Moi : Je...c...c'est mon père Isaac adoptif, aux côtés de mon père biologique Abdallah !
Hanane : Q...qu'est-ce que tu dis ?
Moi : Isaac m'avait déjà parlé de lui, que comme quoi. Tout deux, été meilleurs amis à l'époque. Et que malheureusement Abdallah est décédé...
Après ce que je venais de lui dire, je l'est regarder dans les yeux. En attendant une réponse, ou même ne serait-ce qu'une petite réaction de sa part. Et à vrai dire, ce n'était pas le cas. Puisque qu'aucun son n'est sortie de sa bouche, et elle n'a rien laissé apparaître sur son visage...
Je ne serais vous dire, si elle était aussi choquée que moi.
Hanane : Eh bien on peut dire que le monde est bien petit... je ne savais pas qu'il été décédé...
Moi : Tu n'étais pas au courant de leur amitié, c'est bien ça ?
Hanane : Nan elle secoue de la tête négativement du tout ! Car une fois qu'Abdallah c'est en allé en France accompagné de sa famille, je n'est plus eu de nouvelle de lui. Et faut savoir qu'en Palestine, je le connaissais juste de vue. Par le biais de ta mère, qui passé toutes ses journées entières. À me raconter leur date, promenade ect...
