Originaire de la Palestine et orpheline depuis son plus jeune âge, Soukaïna a été transférée en France dans un orphelinat, là où elle a été adoptée par une famille composée de cinq membres six ans plus tard.
En faisant la rencontre de cette dernière...
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Soukaïna
Sans même lui laisser le temps de me dire quoi que se soit, je me suis en aller en claquant la porte bien fort derrière moi.
En appuyant sur la touche de l'ascenseur, pour qu'elle s'ouvre. Je remarqua que cette dernière, était bloquer aux dixième étage. Sachant que j'étais aux septième, je décida de prendre les escaliers immédiatement. En entendant la voix de Sajid, crier mon prénom dans tout le bâtiment.
J'me suis mise à courir, en priant au fond de moi même. Qu'il ne réussisse pas à me rattraper, dû à sa douleur aux dos. J'étais tellement enrager, que rien que d'entendre son prénom. Ou même voir son visage, me ronger de l'intérieur.
Sans même m'y attendre, Sajid venait tout juste de faire son apparition derrière moi. D'un mouvement sec, il m'attrapa fermement par le bras en me plaquant contre le mur brusquement.
Moi : Tu me lâche ! Tu as compris ? Je ne veux plus t'entendre, et ni même te voir !
Sajid : Laisse moi t'expliquer !
Moi : M'expliquer quoi hein ? Que tu as coucher avec Nawell, et qu'elle est tomber enceinte sans que tu le veuilles ? Je connais déjà la chanson.
Sajid : Ouais...en grattant sa cicatrice j'le voulait pas... mais ça veut absolument rien dire, c'est pas pour autant que j'compte tomber amoureux d'elle et me marier avec tu captes ?
Moi : Quel est le rapport ?
Sajid : Le rapport ? Eh, bah c'est que j'en est clairement rien à foutre d'elle, alors ne réagit pas bêtement. Elle cherche que ça, à t'monter contre moi.
Moi : ...
Sajid : Et puis, c'est pas comme si nous nous étions promit quelque chose. Lorsque j'ai coucher avec elle, on se détestait encore un peu.
Suite à ce qu'il venait de dire, j'me suis tu. Tandis qu'il me regardait dans les blancs des yeux. En attendant sûrement une réponse de ma part...
Sajid : Alors ? En me caressant la joue tu vois tout ce que tu me fais faire ? J'viens jusqu'à toi, sachant que j'ai une balle planter dans le dos. Tu sais même pas comment je souffre intérieurement.
Moi : Petit rire pourtant, je ne t'ai rien demander.
Sajid : P'têtre bien, mais vu que c'est toi. J'fais toujours des sacrifices.
Moi : En changeant de sujet alors ? Qu'est-ce que tu comptes faire de Nawell et de ce bébé maintenant ?
Sajid : C'qu'un père exemplaire, aurait fait. C'est à dire, attendre qu'il ou elle naisse. Et prendre soins de lui...
