𝔔𝔲𝔞𝔯𝔞𝔫𝔱𝔢-𝔠𝔦𝔫𝔮

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                                  Faïza

Saïd : On a beaucoup de chose à se dire, tu ne trouves pas ?

Les mains moites, et le cœur qui bat à fond. J'essayer en vain, de trouver une solution. en trouvant une excuse plutôt « valable », qui pourra me faire sortir de cet impasse.

Ma rencontre avec lui, n'était pas du tout prévue aujourd'hui. En plus d'être habiller et coiffé comme une paysanne, je n'avais absolument pas envie de lui adresser la paroles. Par peur d'aggraver mon cas encore plus.

La seul chose que je voulais, c'était m'en fuir. Mais cela aurait attirer son attention, j'me devais de lui donner quelques explications.

Moi : Tu as des choses à me dire ? J'enchaîne directement très bien, je t'écoute.

Suite à ce que je venais de dire, il m'a longuement regarder dans les yeux. Comme pour savoir si j'étais sérieuse, avant de détourner le regard en lâchant un petit rire nerveux.

Saïd : En te déposant son regard sur moi attend, tu t'fou d'ma gueule la ??!

Moi : Hmmm, nan. Pas d'après c'que sache.

Saïd : Ça fait j'sais pas combien d'temps que tu m'évites, et lorsque nous nous revoyons. Tu as le culot de faire celle qui n'a rien à se reprocher ? T'es bizarre comme meuf toi.

Moi : De un, je ne t'évite pas. Et, de deux. Je n'est rien à me reprocher.

Saïd : Alors pourquoi ? Pourquoi tu fais comme si je n'existais plus ?

Moi : ...

Saïd : Vas-y, parle maintenant !

Moi : J...je n'est rien à te dire...

Saìd : Ah ouais ? Tu en n'est sûr ?

Moi : ...

Si seulement il savait tout ce que j'avais sur le coeur, il serait partie en fuyant pour ne plus jamais me faire face.

Plus mon silence s'accentuer, plus je le voyais s'énerver de plus en plus. Laissant sa veine du front, faire surface. J'le trouvais plus sexy qu'autre chose, même si ce n'était ni l'endroit et ni le moment pour le contempler. Je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer son jolie visage...

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant