𝔒𝔫𝔷𝔢

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                            Omniscient

Du côté de Soukaïna, après que Sajid l'est laisser pour s'enfermer dans sa chambre en la foutant en bordel histoire de libérer la haine qu'il avait en lui. Prise de panique, elle sortit donc immédiatement de la maison. Déjà qu'elle avait super peur de lui, c'est doute se sont bel et bien confirmer.

Quelque chose ne tourne pas rond dans sa petite tête. Et il était hors de question qu'elle reste une minute de plus dans la même maison que lui, c'était complètement absurde se dit-elle.

Elle était persuadée qu'il mentait, car pour elle. Il ne pouvait quand même pas oublier le fait qu'il est faillit lui prendre sa virginité, puisqu'il été consentant au moment de l'acte.

Secouer par tout ses événements, elle se posa donc sur l'herbe d'un parc en jetant plusieurs cailloux qui se trouvaient autour d'elle dans l'eau d'un petit lac.

Quant à Saïd, il venait tout juste de pénétrer dans la maison après avoir accompagner Aya en cours de boxe. Voyant bien qu'il n'y avait personne dans la maison à première vue, il cria donc le prénom de Soukaïna et de Sajid mais personne ne lui répondait.

Il fronça les sourcils d'incompréhension, en jetant un petit coup d'œil dans tout les recoins de la maison. Et en arrivant devant la porte de la chambre de son frère, cette dernière était entre ouverte. Et c'est là qu'il a pu le voir agenouillé au sol, les deux mains sur le visage.

Ne comprenant pas ce qu'il lui arriver, il se dirigea vers lui sans réfléchir.

Saïd : Oh Sajid ??

Sajid : ...

Saïd : Tu m'entends ?!

Sajid : ...

Il avait beau répéter son prénom sans cesse, c'était comme si il était dans un autre monde. Il regarder un point fixe, sans pour autant bouger et ne rien dire.

Inquiet et impatient, Saïd lui décolla une énorme gifle qui lui fit revenir sur terre.

Sajid : Zebi !

Saïd : Qu'est-ce qui t'arrive ? Ta les yeux rouges comme si t'avais pleurer.

Sajid : J'ai rien, bouge !

Saïd : En regardant son frère dans les yeux tu as pleurer, je le sais ! Dis moi tout !

Sajid : J'ai pas pleurer j'te dis ! Me pete pas les couilles !

Saïd : Je ne bougerais pas d'ici, tant que tu ne m'auras pas dit qui, ou même quoi t'a mis dans cet état.

Sajid regarda son frère dans les yeux pendant quelques secondes, en se demandant dans un petit coin de sa tête si il devait tout lui raconter.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant