𝔔𝔲𝔞𝔯𝔞𝔫𝔱𝔢-𝔰𝔦𝔵

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Marero

Assis sur mon grand fauteuil rouge bordeaux, uniquement fait de cuir. Mes yeux ne quittaient pas le magnifique corps de Faïza, tandis que cette dernière était actuellement entrain de donner plusieurs coups de poings d'affilée à son punching-ball.

Vu la force des coups qu'elle employer, j'ai su sans même lui poser ne serait-ce qu'une seul question. Qu'elle était déjà sur les nerfs, son visage serré ne laisser rien apparaître. C'que j'aimais beaucoup chez elle d'ailleurs, son air impassible.

Elle transpirer comme pas possible, ce qui lui rajouter une touche en plus. Je résister pour calmer mes pulsions sexuels, et ne pas la monter en l'air là toute suite. Bien que l'envie y était plus que présente.

Casque aux oreilles, elle ne porter attention à rien. Ni même à moi, j'ai lâché un petit rire bête. Amusé par la situation à la quel je faisais face, avant que mes pensées ne se tournent vers ce vendus de Sajid.

Quand j'me dis que cet enflure vit sa meilleure vie, auprès de tout les gens qu'il aime. Me fou une rage immense, et révoltante.

Rien de tout ça, n'aurait dû arriver. Mes calculs, été pourtant corrects. Chaque détails importants été en ordres, j'avais tout prévue dans les moindres détails.

Et il a juste suffit d'un moment d'inattention, pour que mon plan, tombe à l'eau. Et que ma tête se retrouve à la une des journaux, alors que je suis en cavale.

Jamais. Je dis bien, Jamais. Je n'irai en prison, pour purger une pitoyable peine de je ne sais combien d'années. Après tout le travail, et les efforts que j'ai fais. Je n'abandonnerai pas, tant que le cœur de Sajid. Battra toujours...

En étant aux Panama, loin des regards. Et de la police, nous nous faisons petits. Histoire de nous faire « oublier » si on peu dire ça.

J'ai beaucoup d'ennuis en ce moment même, entre mes hommes que j'ai laissé en France, des dettes non payées, quelques soit disant alliés qui se mettent à me mettre des bâtons dans les roues, en voyant la mauvaise posture dans la quel je suis actuellement. Je perds totalement le contrôle de mes moyens, avant j'me considérais comme quelqu'un à la hauteur de tout. Et maintenant, je suis inqualifiable.

La seule épaule, sur qui je peux me reposer maintenant. Est, personne d'autre que celle de Faïza. Bien que je me sert d'elle, comme sac à mains. Elle m'est toujours d'une grande utilité, et je n'hésiterais pas une seul seconde. À la dénoncer à son tour à la police, si il serait amenait à ce que tout ne se passe pas comme prévue. Et que j'me fasse choper par la police.

Et est bien belle est bonne, mais le monde entier sait. Qu'elle n'arrivera, et qu'elle ne sera jamais à ma hauteur, c'est comme si. Tu mettais un poisson est un chien dans la même équipe, cela ne rime à rien.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant