𝔙𝔦𝔫𝔤𝔱-𝔠𝔦𝔫𝔮

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                                𝔙𝔦𝔫𝔤𝔱-𝔠𝔦𝔫𝔮

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                                 Saïd

Après plusieurs jours de recherches en vin, les efforts ont enfin finit par payer. Et, et me voilà, devant le pallier du mec qui me sert de frère. En attendant qu'il m'ouvre la porte.

J'ai quelques petits contacts, qui ont parvenus à me donner son adresse. Il fallait que je le vois, et que je lui parle. Ça ne pouvait plus continuer comme ça, c'est mon frère. Et je ne passerais pas une seul journée de plus sans que nous nous réconcilions.

Au même moment, il régna enfin à m'ouvrir la porte. Après avoir passer plus deux minutes à l'attendre, lorsque son regard s'est poser sur moi. Il a prit cet air méprisant avec moi, en me regardant de haut en bas comme si je n'étais rien à ses yeux.

Visiblement, il venait tout juste de sortir de la douche. La preuve, une serviette de couleur noir était enrouler sur sa taille. Et une de ses mèches de cheveux brunes humides, retomber sur son front. Laissant plusieurs gouttes d'eau sur sa nuque, coulaient le long de son torse.

Nous sommes rester quelques secondes à se fixait dans les yeux, en attendant que l'un d'entre nous parle. Et lorsque je comptais le faire, il était sur le point de me fermer la porte au nez en me disant :

Sajid : Tu m'excuseras, mais je ne parle pas aux inconnus.

Moi : En bloquant la porte avec ma main droite tu vas encore faire ton gamin ?

Sajid : Dit celui qui m'a virer de notre maison.

Moi : Je soupire je peux entrer ? J'ai à te parler.

Sajid : Tu m'as demander si j'étais d'accord même ? Tu m'excuseras une nouvelle fois, mais j'ai un emploie du temps très charger figure toi.

Moi : S'il te plaît ! Ça ne prendra que quelques minutes.

Suite à ce que je venais de dire, il fit mine de réfléchir. Avant de se décaler de la porte d'entrée pour me laisser entrée.

Moi : Merci en entrant dans son appartement avant de visiter les lieux c'est beau.

Sajid : Compte pas sur moi pour te dire merci.

Moi : J'en n'attendais pas, surtout en venant de ta part. N'empêche, comment as-tu pu te payer c'te maison ?

Sajid : On fait avec les moyens du bord.

Soukaïna - Le Prix d'Une VieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant