Originaire de la Palestine et orpheline depuis son plus jeune âge, Soukaïna a été transférée en France dans un orphelinat, là où elle a été adoptée par une famille composée de cinq membres six ans plus tard.
En faisant la rencontre de cette dernière...
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Soukaïna
Les portes de l'ascenseur venaient tout juste de s'ouvrir face à moi. Mes sacs de courses qui étaient au sol, se sont dès à présents retrouver dans mes deux mains lorsque je suis sortie de cette dernière. Pour me diriger jusqu'à l'intérieur de mon appartement.!
Alors que j'étais sur le point d'ouvrir la porte de ma maison à l'aide de mes clés, mon visage à laisser apparaître un air inquiet. Lorsque j'ai vu que celle-ci était déjà entre-ouverte.
J'ai froncer les sourcils d'incompréhension, avant d'ouvrir la porte complètement. Aucun bruit ne se faisait entendre, et visiblement. Rien n'avait était voler, ou même déranger.
Je me demandais à cet instant précis, si ce n'était pas Aya qui était rentrer. Et qui avait oublier de fermer la porte derrière elle, mais ça m'aurait franchement étonner. Grande peureuse qu'elle est, elle a une terrible peur de rester seule à la maison. Dans ces cas là, elle prend toujours l'habitude de tout fermer à clés derrière elle...
Pour en être sûre de sa présence au même endroit que moi, je me suis mise à crier son prénom en lui demandant si elle était bel et bien à la maison.
Moi : AYA ? C'EST TOI ??
?? : MMHHHHHH !!!!
Puis, plus rien. Je n'étais pas dupe, c'était bien Aya. Soulager, je rentra à l'intérieur de la maison avant de déposer mes sacs de courses à l'entrée en partant la rejoindre au salon.
Mais arriver au salon, un crie de peur c'est échapper de ma bouche. Lorsque j'ai aperçus Aya, au sol. Avec la mine fine d'un couteau enfoncer dans la cuisse droite, laissant une marrer de sang s'évaporer de cette dernière.
En raison du scotch qu'elle avait sur les lèvres, Impossible pour elle de ne prononcer quoi que se soit.
Les joues remplis de larmes, elle était entrain de me supplier de venir l'aider. Ce que j'ai fais à la minute même, mais lorsque je me suis approcher d'elle en la prévenant que j'étais sur le point de lui retirer le couteau qu'elle avait dans la cuisse. Elle c'est mit à hurler, comme pour me dire qu'il se passer, où qu'il allait se passait quelque chose.
Et alors que j'étais sur le point de lui retirer le scotch qu'elle avait sur la bouche, pour tenter de comprendre ce qu'elle essayer de me dire. Mon regard s'est poser sur le vase qui se trouvait tout juste à côté de moi, et qui refléter mon visage. Et une silhouette masculine derrière moi.
Prise de panique, je me suis nettement retourner vers cet inconnus. Je n'est même pas eu le temps de dire quoi que se soit, que ma joue droite c'est mise à chauffer. Laissant ma tête basculer de l'autre côté, je venais de recevoir une gifle de sa part.
