Originaire de la Palestine et orpheline depuis son plus jeune âge, Soukaïna a été transférée en France dans un orphelinat, là où elle a été adoptée par une famille composée de cinq membres six ans plus tard.
En faisant la rencontre de cette dernière...
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Soukaïna
16h11. Devant le pallier de la porte de chez Nawell, je venais tout juste de poser mon index sur la sonnette. Histoire de prévenir Sajid, que j'étais arriver à destination.
La sensation de stresse, qui était en moi. N'était non explicable, je redoutais fortement de le voir. Par peur, de tomber sur quelque chose qui compte bien me déplaire.
Et si on lui avait fait du mal ? Ou même, défigurer le visage ou une partie du corps ? Je ne vais sûrement pas m'en remettre.
Lors de notre appel téléphonique, il avait l'air plutôt à l'aise. C'est à dire qu'il ne parler pas avec difficultés, bien au contraire. Son comportement était plus que zaine. Ce qui me rassurait d'un côté, et non de l'autre. Avec Sajid, on peut s'attendre à tout.
Au même moment, alors que j'étais toujours dans mes pensées. La serrure de la porte s'est fait entendre, en me faisant sortir de cette dernière. Laissant apparaître, quelques secondes plus tard. Sajid, torse nu. Vêtue juste, d'un short blanc.
Alors que j'avais toujours les yeux river sur son torse à découvert, mes joues se sont mit à rougir instinctivement. Je n'est pas l'habitude de me retrouver dans ce genre de situation.
Et, sans même m'en rendre compte. Il s'est approcher de moi peu à peu, mon cœur c'est mit à battre à fond. Tout comme mes jambes, qui se sont mises à trembler. Je me demandais bien, ce qu'il comptait... MAIS HÉ OH !
Il venait tout juste de me tirer à l'intérieur de la maison de Nawell sauvagement, je n'est même pas eu le temps d'en placer une. Qu'il m'a prise dans ses bras, en me serrant très fort contre lui.
Surprise, je suis rester neutre face à son geste. Et, voyant bien qu'il avait besoin de réconfort. J'ai régner à le prendre dans mes bras à mon tour.
Toujours dans les bras de l'autre, je Mouais sentir son cœur battre la chamade. Tout comme le mien, ceux qui m'a fait évidemment sourire.
Mais, je peux vous dire que ce sourire c'est très vite effacer. Lorsque mon regard s'est poser sur le haut de son dos, tout près de sa clavicule. Là, ou un gros bandage remplis de sang y était.
Moi : En me détachant de lui c'est quoi ça ce truc ? En fronçant les sourcils.
Sajid : Sourire quel truc ?
Moi : Je ne rigole pas Sajid !
Sajid : En tirant mes joues on s'en fou de ça ! T'sais que tu m'a trop manquer ?
