𝘁𝗮𝗿𝗶𝗸 𝗮𝗻𝗱𝗿𝗶𝗲𝘂 "𝗮𝗱𝗲𝗺𝗼"
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je t'aime comme l'on aime certaines choses obscures de façon secrète entre l'ombre et l'âme
(23aou.2020 /17jan.2021
#1 fanfiction : 27-28janv.2021 / 1-2-3fév.2021)
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Tarik - Bonne année Tigresa.
- Bonne année querido.
Ma tête basculait en arrière quand la bouche de Tarik se posait sur la mienne et il devait passer sa main derrière ma nuque pour me maintenir contre lui. Mes deux bras se calaient contre son torse alors que je souriais contre lui.
- Deux mille dix neuf ce sera pour nous. lui chuchotais-je alors qu'il embrassait mon front.
Tarik - Insh'Allah, nous porte pas l'œil bébé.
- Vu l'année assez mouvementé qu'on a eu, j'espère que ce sera mieux. je sentais le pouce de Tarik faire des cercles sur mon annulaire gauche et sur mon ventre. Déjà, on va bientôt fêter nos un an, ça passe trop vite.
Tarik - Tu m'aimes ?
- Nan. il haussait un sourcil avant de me pincer la hanche, me faisant rire. Je rigole, je suis folle de toi même.
Tarik - J'aime bien quand tu dis ça.
- Et toi ?
Tarik - T'sais déjà la réponse.
- Oui mais. je faisais coulisser mono doigt sur son épaule. J'aime bien quand tu le dis.
Tarik -Nhebek.
- Nhebek 'aydaan
Comme deux abrutis, on se fixait dans les yeux sans rien dire. C'était pour ces moments-là que je me disais que j'avais peut-être trouvé le bon.
Sasha - Oh les deux là ! Bonne année à vous aussi hein !
Je tournais ma tête en même temps que Tarik vers Sasha qui nous appelait depuis le salon. Histoire d'être un peu plus dans l'intimité, on avait fait le décompte que tous les deux sur le balcon de l'ancien appartement de mon copain, qui appartenait maintenant qu'à Nabil et Laura.
Entre les deux, ça s'était un peu arrangé. Mais Bilna l'avait prévenu, si elle partait à New-York, donc si sa demande première était acceptée, il ne lui promettait pas de rester ensemble, la distance étant un facteur trop grand pour lui.
Tarik - J'ai envie qu'on rentre. me glissait-il alors que je venais de m'asseoir à ma place.
- Attends quelques minutes, faut qu'on soit discrets.
Tarik - Si j'veux qu'on se taille, on s'taille c'est tout.
- Juste laisses moi manger un peu de gâteau, c'est une tuerie.
Tarik - Bagra va.
Je riais doucement avant de lui faire un bisou sur la joue et de déguster ma part. Je n'avais pas menti, c'était de la bombe. Vers une heure quinze, je prenais le chemin du retour avec Tarik et une tension se ressentait déjà dans la voiture.
