On était amis

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Je rentra dans la maison et me dirigea au sous sol ou tout le monde mangeait. Je prit place entre Lila et Vanya et attrapa le plat de nourriture quand il passa devant moi.

Klaus : alors ces retrouvailles ?
Celia : instructive... Mon frère est un connard et mon père doit être l'alter ego du votre. Quoiqu'un peu plus sentimentale. Et leur deux chiens de gardes ne semblent prendre vie que quand papa ou fils à papa l'ordonne.
Cinq : ils t'ont dit quand il prévoyait de nous tuer ? A moins qu'il t'ai mise dans le coup.
Celia : je leur est suggérer de t'écarteler vif mais je me suis dit que cela ne serait pas assez douloureux. Tu préfères être enterrer ou incinérer ?
Cinq : empaillé.

Je me remis à manger alors que les autres, habitués par nos chamailleries, ne s'étaient même pas arrêter.

Lila : plus sérieusement, si on doit savoir quelque chose, il faut que tu nous le dise.
Celia : je m'en suis chargé. Mon père n'oserait pas me faire de mal et il retiendra Maxim.
Cinq : ho mais si papa s'en charge !
Celia : si tu es jaloux, tu n'avais cas pas-

Lila posa sa main sur mon épaule pour m'empêcher d'aller trop loin et de dire des paroles que de toute façon que je ne regretterais pas.
La fin du repas se passa sans nouvel affrontement entre le vieux et moi puis je regagna le grenier ou j'avais prit l'habitude d'aller pour m'isoler. J'essayais d'imprimer tout ce que j'avais appris sur moi quand mon téléphone vibra.

Привет Селиа, это Дмитрий. Предупреждаю, потому что до того, как мы с тобой дружили, твой брат планирует атаковать Академию Амбрелла через два дня. Приготовься, он возвращается.
Удачи.

( Salut Celia, c'est Dimitri.
  Je te préviens car avant on était amis toi et moi. Maxim compte attaqué la Umbrella Academy dans deux jours. Préparez vous, il est remonté. Bonne chance. )

Dimitri... le brun qui devait avoir un peu plus de 30 ans. Alors on était amis lui et moi ?
Je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance mais moi instinct me disait qu'il ne me mentirait pas. Je lui répondis.

Спасибо

Merci

Je souffla un coup puis descendit prévenir les autres. Une sorte de réunion de famille de crise se fit à l'endroit où nous avions manger ce midi.

Allisson : donc selon...
Celia : Dimitri
Allisson : Dimitri, ton frère veut nous attaquer ? Dans deux jours ?
Diego : comment on sait qu'on peut lui faire confiance à... Dimitri.
Celia : je ne sais pas... je le sens. Il a dit qu'on était amis et, une part de moi sait que c'est vrai
Cinq : il a quand même faillit te...
Celia : me violer ? Oui je m'en rappelle. Tu m'as bien agresser et enlevé tous mes souvenirs et pourtant je te fais confiance. Alors même si tu n'as pas confiance en Dimitri, ait confiance en moi.
Cinq : et tu serais capable de te battre contre ton frère ? Voir même de le tuer ?
Celia : on n'est pas obligé d'en arriver jusqu'à la
Cinq : c'est bien ce que je pensais. Je veux bien croire qu'ils vont attaqué, j'en suis même persuadé. Mais on sera assez de huit pour les vaincre.
Celia : je rêve ou tu es entrain de me mettre sur la touche ?
Cinq : tu ne te contrôle pas. On devra te protéger en plus de nous et se protéger de toi.
Il est hors de question que tu combattes.
Celia ; je suis parfaitement capable de me maîtriser.
Cinq : je n'en suis pas si sûr
Celia : et pourquoi ça ?
Cinq : parce que tu as tuer deux hommes seulement voulant les repousser !

Le silence complet se fit. De quoi parlait il ?

Celia : ...quoi ?
Cinq : la nuit où tu as eu ton black out, quand tu rentrais à l'appartement de Vanya, deux hommes ton accoster. Tu as voulu les repousser et tu les as tuer.
Celia : et tu n'as pas juger bon de me le dire ?!
Cinq : de base, non.
Allisson : bien, maintenant que la vérité a éclater, on peut en revenir à ceux qui veulent nous attaquer dans deux jours ?
Celia : a priori il serait 10, 9 si on compte que Dimitri n'essayera pas vraiment de nous atteindre.
Luther : donc avec toi nous serions à égalité.
Celia : j'en serais.

J'entendis Cinq soupirer mais ne releva pas. Après encore 20 Minutes à s'organiser, nous étions fin prêt pour la bataille. Et cette fois, sans modifier le temps.
Tout le monde repartit vaquer à ses occupations, comme si tout ce qui se passait était totalement normal. Pour ma part, je rejoint le salon. J'avais envie d'essayer de maîtriser mes pouvoirs, de ne plus être dangereuse. J'alla chercher un verre dans le bar au fond de la pièce et le plaça sur la table devant moi. Je me concentra, visualisant l'objet se mettre en lévitation. Ça marchait, il volait.
Mais je fus bien vite rattrapé par une vision et le verre explosa. Je sursauta et me retint de faire subir la même chose qu'à mon échec à la personne qui rentra dans la pièce.

Cinq : tu n'as pas fait que tuer deux personnes cette nuit là.

Il enleva un bout de verre du fauteuil et s'assit à côté de moi.

Cinq : tu as aussi dis que tu me détestait.
Celia : bizarrement je le pense toujours.
Cinq : Celia, si je ne veux pas que tu te battes après demain c'est parce qu-
Celia : je me battrais que tu le veuilles ou non.

Il soupira et me regarda.

Cinq ; fait attention à toi.

Il n'était pas le premier à me dire ça. Mais le dernier que je voulais écouter. Même si quelque chose me titillait toujours avec lui.

Celia : pourquoi tu m'as embrassé ? Ce matin là
Cinq : j'en avais envie
Celia : non ça c'est le mensonge que tu te racontes pour essayer de justifier ton acte.
Et tu sais que si je le voulais je pourrais rentrer dans tes pensées pour savoir ce que même toi tu ne sais pas.
Cinq : et pourquoi tu ne vas pas le faire ?
Celia : parce que je veux que tu me le dises toi même.
Cinq : et si je ne sais pas pourquoi je t'ai embrassé ?
Celia : ça c'est ma réponse normalement.
Cinq : parce que peut être que quand tu es là, c'est moi qui n'arrive pas à me contrôler.

C'est toi le chat Où les histoires vivent. Découvrez maintenant