PDV Celia :En fermant la porte, je m'appuyais contre celle ci et respira plusieurs fois, essayant de calmer mes sanglot. M'empêchant de trop penser.
Mais du coup je me retrouvais seule, dans une maison avec 7 frères et sœur au pouvoir surnaturels que je ne connais presque pas.
Des bruits de talons me firent sortir de mes non-pensées. Une jolie femme blonde avec un sourire qui en ferait tomber plus d'un arriva et me regarda.Grâce : alors mon ange ? Cela ne va pas ?
Je secoua la tête mais souris face à la gentillesse de cette dame. Elle passa un bras autour de mes épaules et m'emmena avec elle.
Grâce : tu as l'air déjà en meilleure santé que tout à l'heure, mais il est tard, il faudrait dormir un peu.
Il est vrai que je n'avais pas regarder l'heure depuis... longtemps. Ceci dit il est vrai que la maison était peu éclairé. Sans que je l'ai remarqué, nous arrivâmes dans le salon où était une jeune femme avec des longs cheveux bruns foncé.
Grâce : ho Vanya, toujours pas couché ?
Vanya : désolé maman, je n'arrivais pas à dormir.
Grâce : Celia non plus, je vais vous faire des cookies.Et elle partit. Maman ? Waw, elle était plutôt bien conservé. Je m'approcha doucement du canapé sur lequel était assise là dénommé Vanya et me posa à côté d'elle.
Vanya : Cinq ronfle si fort que ça ?
Celia : il m'a avouer la vérité...Elle eut un regard désolé et posa sa main sur mon épaule.
Vanya : je suis désolé... il ne pensait pas à mal, au contraire.
Celia : je ne sais même pas si je lui en veux. Ni même pourquoi je lui en voudrais
Vanya : je pense que tu as toute les raisons d'être en colère... mais il se sent vraiment mal, crois moi, on ne l'a jamais vu comme ça.
Celia : est-ce qu'il..?
Vanya : ce n'est pas à moi de te le dire.Elle eut un sourire bienveillant. Franchement, j'aimais bien cette famille. Grâce revint avec un plateau de cookies tout chaud et nous laissa. Nous les mangeâmes tandis que Vanya me parlait un peu de la famille.
Celia : Luther et Alisson ? Je pense que c'est encore pire qu'imaginer Lila et Diego.
Vanya : il y a des choses qui ne s'expliquent pasJ'hocha la tête et elle me caressa le bras.
Puis elle se leva et me souhaita une bonne nuit.Vanya : si tu trouves le canapé inconfortable, n'hésite pas à venir frappé à ma porte.
Je lui souris et la remercia silencieusement. En 1 heure avec elle, j'en avais appris plus qu'en une semaine avec Cinq. D'ailleurs en parlant de lui, ses « ronflements » l'empêchaient peut être de dormir aussi. Il s'assit à côté de moi mais ne levait pas les yeux.
Cinq : je ne vais pas te demander de faire comme si rien ne c était passé-
Celia : ça tombe bien je ne peux pasIl m'attrapa l'avant bras et me tourna vers lui.
Cinq : Celia
Celia : quoi ?!Ses yeux se plantèrent dans les miens. Me montrant ce que j'avais toujours voulu éviter de voir. C'était ceux qui m'avaient brisée cette nuit là, et même si quelque chose semblait différent, je pense que je l'avais toujours su.
Je ne voulais juste pas me l'avouer.
La vérité fait mal dit on. Et bien c'est vrai.
Mais aimer la vérité le fait encore plus.
A moins qu'aimer tout court.Cinq : tu es toujours la fille que j'ai brisée cette nuit là... hein ?
Je détourna le regard en avalant difficilement ma salive et mes larmes. Oui, sauf que cette fille là est morte à l'instant même où elle a compris ce qui allait se passer.
Cinq : mais regarde moi. Regarde moi dans les yeux et dis moi que je suis toujours cet homme.
Je ferma les miens. Il savait. Je savais. On savait tous les deux que si on se regardait dans les yeux, on ne pourrait plus résister à cette tension qui nous attirait l'un à l'autre.
Il savait que je ne pourrais pas lui dire face à face qu'il était toujours cet homme. Tout simplement car je ne pourrais pas lui mentir dans les yeux.
Il ne bougeait pas, continuant de me scruter pour pouvoir m'abattre au moment où je serais le plus faible.Cinq : Celia...
Non. Arrête. Ne prononce pas mon nom de cette façon. Avec cette voix si rauque, mélancolique et- à laquelle je ne pouvais tout simplement pas résister.
Cinq : tu m'as demander si c'était vrai, si tout ce qu'on avait vécu était vrai. Alors je te retourne la question. Tu veux réellement oublier ? Tu veux réellement me faire croire que tout ce qui c'est passé n'avait pas d'importance pour toi ?
C'était dégueulasse de faire ça. Retourner mes propres armes contre moi. Je le regarda enfin dans les yeux, erreur.
Je ne pu résister, à je ne sais même pas quoi.
Juste j'avais besoin. J'avais besoin de l'embrasser. De regoûter a ses lèvres, de ressentir leur douceur. Leur sensation.
Je plaça une main dans sa nuque et m'attira vers lui. Plaçant toute ma colère, ma peine, mais aussi mon désir dans ce baiser.Quand je me rendis compte de ce que je venais de faire, je sortie du salon et alla dans la seule autre pièce de la maison que je connaissais, la chambre de Cinq. Il apparut derrière moi, à peine une minutes plus tard et ferma la porte.
Cinq : c'était quoi ça ?
Celia : une énorme erreur ! Je- Tu... Je ne sais pas ce qu'il m'a prit je... j'étais si en colère et c'est comme si je n'étais plus moi même et-
Cinq : ce ne serait plus tôt que tu acceptes enfin d'être toi même ?
Celia : ho non non non. J'admet enfin la vérité, n'essaye pas de retourner la balance !
Cinq : j'essaye juste de démontrer que quand tu arrêtes de réfléchir, tu t'écoutes vraiment. Tu écoutes la vrai toi.
Celia : mais je ne sais même pas qui je suis !Je me retourna et le dévisagea, ne sachant pas comment mon corps savaient encore produire des larmes. Il sourit tristement.
Cinq : mais moi je le sais...
Celia : cette fille là n'existe plus Cinq...Une larme roula sur sa joue et il s'approcha de moi, me tenant par la hanche et posant une main sur ma joue. Je n'essayais même plus de me débattre, acceptant juste la réalité, ou la non-réalité, je ne sais plus.
Cinq : non... je sais qu'elle est toujours là... au fond de toi.
Celia : sauf que moi je suis déjà morte.Les mots avaient passé ma bouche avec une telle facilité que c'en était effrayant. Oui j'étais morte. Morte d'amour pour une personne dangereuse... Morte pour et a cause d'une personne qui ne savait même ce que c'était, l'amour.
Cinq : Non... s'il te plaît...
Il marqua une pause et inspira.
Cinq : je sais que je pourrais jamais effacer ce que j'ai fait et ça me tue, littéralement d'être responsable de ça mais, je ne pourrais jamais effacer non plus tout ce j'ai vécu avec toi et tout ce que ressens... Je sais aussi que je ne suis pas doué pour ça car ce sont des choses que je n'ai jamais exprimer mais...
Il reprit encore son souffle
Cinq : Je t'aime.
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C'est toi le chat
FanfictionQuand j'ouvris les yeux dans cette pièce blanche et beaucoup trop lumineuse, je n'étais pas à deux doigts de savoir ce qui allait se passer, ni ce qui s'était passé. « C'est toi le chat » et ses yeux perçant sont les seuls souvenirs qui me sont en...