Love In Job.

Chapitre 38

Hey !!!

Je tenais à vous remerciez pour avoir signalé la personne qui a copié ma fiction, elle a finit par être supprimée alors merci ;)

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Point de Vue de Julie :

Je ne sais pas dans quel état d'esprit est Zack mais je suis contente qu'il m'est accompagné. J'ai terriblement besoin de lui et ça m'aurait encore blessé qu'il campe sur ses positions.

Je me suis maintenant calmée, je ne pleure plus mais je sens mes joues complètement irritées et sèches. Mes yeux sont bouffis et mon nez me dérange beaucoup.

Zack n'a pas lâché ma main une seule fois, il a été là pour moi et il le sera toujours.

Ma mère a également arrêté de pleurer mais elle ne parle pas, ne bouge pas et son teint est pâle. Elle fixe un point au hasard et je crois qu'elle n'a pas cligné des yeux depuis de longues minutes.

Gabriel a préféré faire un petit tour, il nous a apporté des verres de café et il n'arrive pas à tenir en place.

Le téléphone de Zack se met à sonner, je tourne la tête vers lui.

-''Vas y.'' J'essaye de sourire.

-''Ça peut attendre tu sais.''

-''Non vas y décroche, vraiment.''

Il se lève alors et appuie sur son téléphone avant de s'enfoncer dans le grand couloir.

-''J'en ai marre.'' S'agace Gabriel en se plaçant devant moi. ''Ça fait tellement de temps qu'on attend bêtement ici et on a aucune nouvelle.''

-''Je sais mais il faut être patient.'' J'articule.

Je suis complètement épuisée que je n'ai même pas la force d'aligner deux mots.

-''Je n'en peux plus.'' Il continu.

-''Gabriel tais toi.'' Lâche ma mère.

Il soupire et s'assoit enfin en face de nous.

Zack réapparait et s'installe de nouveau à mes côtés.

-''Qui c'était ?'' Je demande.

-''Mon père. Il se demandait où nous étions.''

-''Oh. Tu lui as expliqué ?''

-''Oui et il comprend parfaitement.''

-''C'est vrai ?''

-''Oui Julie, c'est un humain, il a un coeur.'' Zack me sourit doucement.

-''Oui je sais mais ça reste mon patron et tu avais raison quand tu as dit que je ne faisais pas mes heures alors...''

-''Sois tranquille, il ne va pas te demander de partir parce que tu as des petits soucis avec ta famille.''

Je pose ma tête sur son épaule et je prend une grande respiration.

-''Tu cuisinais quoi avant de partir au travail ?'' Il demande.

-''Rien pourquoi ?''

-''Je ne sais pas mais ça sentait vraiment le brulé.''

Je relève doucement ma tête en réalisant.

-''Oh non.'' Je dis.

-''Quoi ?''

-''Je n'avais rien à manger pour ce midi alors pendant que je me préparais j'ai décidé de faire réchauffer au four des parts de quiches.''

-''Quoi ?'' Il répète avec plus de sérieux.