Chapitre 68

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 vPoint de Vue de Zack :

Je retourne dans mon bureau et je suis surpris quand j'y trouve Stuart.

-''Qui t'a laissé entrer ?'' Je demande sèchement en m'installant sur ma chaise.

-''Ta secrétaire, elle m'a dit qu'il n'y avait pas de problème.'' Il semble mal à l'aise et il a de quoi.

-''Ah elle t'a dit ça ?''

-''Oui.''

J'hoche la tête.

-''Tu es au courant de la merde que tu as foutu ce matin ?''

-''Oui je ne sais pas ce qui m'a prit.''

-''Tu as balancé au client que son projet n'était pas viable, qu'on allait être en incapacité de le faire et surtout qu'il ne nous intéressait pas.''

-''C'était ce qu'on avait dit juste avant.''

-''Je sais Stuart mais tu ne peux pas balancer ça au client de but en blanc. Tu es complètement stupide ou quoi ?''

-''J'aimerai me rattraper.''

-''Je suis désolé de te l'annoncer mais tu ne peux pas. Ils viennent de m'appeler et ils vont à l'agence concurrente.''

Il frissonne.

-''Tu nous as fait perdre un client.'' Je ris nerveusement.

-''Je pensais sincèrement qu'on allait pas le garder.''

-''Mais bien sur que si, il fallait seulement les faire changer d'avis.''

-''Je... Je suis désolé.'' Il balbutie. ''Mais ils étaient tellement surs d'eux et arrogants que c'est sortie tout seul.''

-''Tu sais Stuart, des gens arrogants tu vas en croiser pleins. Regarde moi, je suis quelqu'un d'arrogant.''

-''Je sais mais...''

-''Mais rien du tout. Alors prends ta journée, respire un grand coup et reviens demain plus en forme s'il te plait. Je n'ai pas envie de perdre d'autres clients.''

-''Je suis viré ?''

-''Tu es vraiment stupide ? Je t'ai dit de revenir demain donc non tu n'es pas viré.'' Je roule des yeux complètement exaspéré.

Il se lève en hésitant.

-''Au revoir.'' J'insiste.

-''À demain.''

-''Oui à demain.''

Il ferme la porte et je soupire.

-''Putain mais quel con.'' Je dis une fois seul.

-''J'ai entendu.'' J'entends derrière la porte.

-''Dégage Stuart, sincèrement.''

Je le vois alors passer devant la fenêtre et je me lève pour me tourner devant ma baie vitrée après avoir saisis une balle anti-stress.

Je joue légèrement avec tout en contemplant mon incroyable vue sur Manhattan.

J'ai hâte de reprendre la tête de cette agence, j'ai déjà tellement d'idée pour l'améliorer encore plus.

Ça m'aide aussi de savoir que Julie sera à mes côtés et m'épaulera.

Je décide alors de l'appeler.

-''Tu réponds vite.'' Je dis en réalisant que même pas une sonnerie n'a retentit.

-''Je jouais à Candy Crush.''

Love In Job.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant