Chapter twenty five

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_ On a assez papoté sur des futilités sans avoir de réponses concrètes. Je comprends le souhait de Monsieur Person mais je veux tout de même le rencontré.

_ Comme tu veux

_ Mais je peux te informer que Sala n'épousera aucun homme tant qu'elle n'aura pas obtenue son diplôme. Elle l'épousera l'homme qu'elle souhaite.  C'était les deux choses que tu devras  savoir impérativement.

_ Okay !

_ Parfait dit Raouf

Je n'étais pas trop convaincue de la scène. C'était trop facile qu'il accepte sans brancher. Raouf à su bien déterminer mes désires, que j'aurai dis qu'il a lu dans mes pensées.

_ Mais il y'a une exception, dit mon père.

J'en étais certaine qu'il trouverait une condition à ajouter.

_ Elle a deux conditions. La première elle à un délai de 5 ans pour finir ses études ainsi pour obtenir un diplôme puis un travail appuie. Si elle n'y parvient pas avant ce délai, elle arrêtera tout. La deuxième c'est qu'elle ira en Amérique auprès de Monsieur Person comme il le souhaite peu importe sous le titre qu'elle ira.  On a fait un marché et c'est ce que j'ai décidé. Mariage ou pas ta prochaine destination, c'est l'État unis.

_ Quoi ? Dit Raouf stupéfait

_ Oui tu as bien entendu, elle ira car c'est ce sur quoi nous nous sommes convenus.  Je t'ai toujours dit que je m'en fou pas mal de sa vie. Peu importe ce qu'elle fera, elle n'a aucune valeur à mes yeux.  J'ai qu'un enfant et c'est toi, Raouf.

Je fermais les yeux face à ses mots. Il me poignarde en plein coeur aux  yeux grands ouverts. Je serrais les dents pour contenir mes larmes qui veulent apparaitre. Je ne dois pas lui monter un signe de faiblesse.
Ainsi, Il avait finalement réussit à me faire de la peine malgré que je sois parvenue à attendre ce que je voulais de mieux.

Et, si monsieur Person me veut comme épouse pour son fils ? Ou peut-être lui  ? Que me dit-il qu'il s'agit d'un mariage, d'autant plus ils ne sont pas musulmans. S'il veut m'exploiter ? Ce qui était certain j'ignorais véritablement la raison. Alors suivre un inconnu dans un monde inconnu c'est un mystère. Je ne veux pas aller souffrir encore nul part.

_ En parlant de ça, je pense que vous deviez connaître absolument la vérité. La réelle vérité pas erronée. Dit-il avec un air de fierté.

_ De qu'elle vérité dont tu me parles ? Et pourquoi faut-il que tu mettes Sala en gage ?

_ concernant ta deuxième question la réponse c'est simple, je le voulais et c'est tout car Sala n'est pas ma fille.

_ Quoi ?

Cette fois-ci  l'exclamation venait de moi.  Je pouvais m'attendre à tout sauf cet aveux.

_ Et, oui tu as bien entendu pauvre fille. Tu n'es pas ma fille car je ne voulais pas de toi. Tu n'es qu'un accident. Je sais que toi et Raouf aviez reçu une lettre sur l'histoire du passé de moi et cette femme, la mère de Sala. Comme vous l'avez constaté je n'ai pas subit de quelconque magie noire. Je suis bien conscient de mes actes. Dit soudainement sa phrase révélatrice.

Quant à Raouf, il avait les yeux grandement ouverts puis essaye de prendre une posture adéquate pour réaliser les dits de ce denier. Tandis que moi je suis toujours debout puis suit attentivement sans rien dire.
Je suis extrêmement touchée que j'aimerais savoir d'avantage. Les réponses que je voulais tant savoir sont à m apporter enfin. Le sentiment que j'éprouve en ce moment, ne peut pas être qualifié de déception mais plutôt d'impatience à l'énigme. C'était un sentiment d'angoisse et de mépris.

Je jubile à l'idée de savoir la vérité sur le passé. Mais une question me frappa à l'esprit. Peut-on se fier aux paroles de père ? C'est vrai qu'il a des défauts mais il est loin d'être un menteur.

_ Autrefois, j'ai connu une femme. Une femme qui rendait mes jours et nuits meilleurs. Je l'aime plus que tout et personne ne pouvait changer cela même pas Jennah, ta mère . Elle savait très bien que j'éprouvais rien pour elle mais elle à fait qu'à sa tête ; en  espérant que je vais l'aimer un jour. Et oui, j'ai faillit tomber dans son jeu. Ta grand-mère avait faire croire à Jennah que j'étais plus conscient de mes actes or c'était archi faux. Je voulais qu'elle parte loin de moi. Mais elle persistait. Raouf ta vraie mère c'est Rachida ma première épouse. Pour ce qui en est de Jennah, se c'était un contrat que mon père avait fait. J'étais contraint de vivre avec elle. Après la mort de celui-ci, j'avais décidé de mettre fin à cette histoire périlleuse. Mais dès que je voulais y parvenir cette calamité est né! Je ne pouvais pas divorcer Jennah, si j'avais eu un enfant avec elle. Alors tu peux comprendre pourquoi je te hais. Tu as mis fin à mon désire. Alors je cherchais des embrouilles par tous les  moyens pour mettre fin à cette relation. C'est ainsi j'ai fais la proposition que vous le saviez tous les deux à Jennah. L'obligeant de laisser sa fille et d'aller avec Raouf c'était encore l'une de mes stratégies. Alors elle accepta de s'éloigner au dépend de vous. Mais au fond, je me suis dit échouer car tu es resté avec moi. Même si, je voulais que toi et ta mère alliez loin de moi.  Donc c'est pourquoi je fais ce que je veux de toi pour déverser ma rage sur toi. Tu n'existe pas à mes yeux. Un accident n'a pas d'importance à mes yeux.

Le regard dans le vide, les larmes aux yeux , le coeur déçu et la parole disparue. Je suis perdue dans ma réflexion. La réalité semble m' avachir de plus en plus. Moi qui avait pensé être soulagé après la réalité. Hélas, la réaction semble différente. C'est comme si mon monde venait de s'écrouler sous mes pieds.

Le goût de la vie devenait âpre puis je me détestais. Je me pose mille questions sur ma personne et mon  sens dans cette vie. L'espoir de connaître une vie meilleure outre que la mienne est une énigme ? On le dit souvent l'enfant apporte la joie et le bonheur dans la vie de ses patents. Est-ce mon cas ? Telle une naissance maudite.  Je suis qu'une naissance sans sens. Une circonstance inattendue, comme il le dit un accident. Tout s'explique, le fait de m'empêcher de suivre mes cours, de travailler et d'être pudique où pas pour lui n'a pas d' importance. Je n'ajoute et ne change rien à sa vie. Je suis presque invisible à ses yeux. Je vis dans un monde où je n'existe pas.

_ Si tel est le cas pourquoi vous regretter que ma mère soit partit ? Pourquoi cela vous ronge que ça ? Dites le moi, je veux savoir ! Terminais - je avec des larmes.

_ Ça, ça ne te regarde pas.

_ SI, BIEN SUR  QUE ÇA ME REGARDE ! J'AI PAS DEMANDÉ À ÊTRE NÉ ALORS POURQUOI VOUS ME DÉTESTEZ tant ... Pourquoi, pourquoi oh non ya rabbi qu'ai-je fais ? Pourquoi... ?

Je tomba en transe, les genoux au sol puis les mains vers le ciel, je ne pleure  mon sort. Je ne supportais pas cette vie. Je ne supportais pas également la souffrance que m' inflige mon père. Le comportement de ce dernier ainsi que sa propre personne commençais à me faire sérieusement débecter.  Mais il y'a avait cette force et ce principe en moi qui me poussait à respecter mon père. J'essaye de me relever avec le peu de force qui me reste.

Je marcha avec tant de fatigue et de regret vers mon père. Lorsque, j'arrivai à son niveau bien vrai qu'il y'a une grande distance entre nous.  Je baissée la tête en signe de politesse asseyant de contenir mes larmes puis commença avec un grand souffle.

Tout un long chemin : une naissance maudite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant