Chapter four

83 9 0
                                    


J'arrive au niveau de la porte de sa chambre puis frappe quelque coup pour lui faire signe de ma présence. Mais rien, il ne fait aucun signe de vie. Je réessaye pour m'assurer s'il est effectivement à l'intérieur.

Sans aucun succès alors je décide de m'en aller mais la porte s'ouvra lentement avec un bruit qui me faisait frissonner de peur. Je dirai le bruit effrayant laissé par une porte comme un peu des scènes de film d'horreur. Je me suis dis ça y est, c'est ma fin car à ce moment j'ai eu un :

Flash back une semaine en arrière

Jean : l'heure est très grave nous sommes à la dérive. Tous les projets nous avons voulu financer en ce mois semble déficitaire. 

Raouf : Explique toi !

Jean :  Nous savons tous que la compagnie **** et la notre sont les deux grandes entreprises en  tête.

Raouf : Oui, donc si je suis de plus près ton raisonnement si nous voulions poursuivre la quête de profit sur ce projet, il peut sembler un grand risque pour nous n'est pas ?

Jean : je ne m'attends pas moins de toi " sourire "

Les autres : Murmurent entre eux

Un autre collègue :  C'est très bien de voir venir le déficit mais la question que nous posons comment cela à pu se faire ?

Raouf : Très simple, il se trouve que parmi nous il y'a des personnes qui pensent tromper notre vigilance en se croyant trop invisible à raconter toutes nos décisions à l'entreprise adverse.
Je ne vais pas me répéter, si j'arrive par moi même à découvrir cette personne, qu'elle soit certaine que je ne vais pas me contenter de la virer mais bien plus que ça !
Mais il 'y a une autre option, c'est de venir me voir en privé puis m'expliquer quels sont ses motifs peut-être qu'elle aura un coup de grâce.
J'attends dans mon bureau 15minutes je ne vois personne, je vais utiliser les grands moyens.

12 minute plus tôt

Raouf : Vous pouviez rentrer on va laisser les politesse de côté. Dit-il de dos

Cette dernière rentra la tête baissée puis les mains entrecroisées en avant sur sa tenue tout en ayant les lèvres serrées pousser la peur et regret.

Raouf : je vous écoute toujours dans cette même posture.

La personne : Je peux tout expliquer Raouf, s'il te plait écoute moi !

Il eut un silence de désert dans la salle.  Lorsqu'il a reconnu cette voix, il ne peut s'empêcher de se retourner le regard ahuri.

Raouf : Toi !  Dit-il abasourdi par ce qu'il venait de voir.

Stéphanie : * pleure *  écoute.... J....je peu...

Raouf : va t'en ! La mâchoire contractée puis les points serrés.

Stéphanie : je t'

Raouf : Je dis bouge !

Il ne fallait pas lui faire un dessin de plus pour qu'elle comprenne que Raouf ne rigolait pas. Elle sortit aussitôt.

C'est avec cette humeur que Raouf rentra à la maison où il trouva sa soeur à la maison dans sa chambre. Malheureusement, il avait oublié de verrouiller la porte de sa chambre. Autrefois, il l'avait bien défendue de ne jamais franchir les escaliers qui mènent à sa chambre même s'arrêter juste en face de la porte.  Elle a compris cette leçon car depuis ce jours Sala évite ce périmètre.

Tout un long chemin : une naissance maudite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant