Tout un long chemin : une naissance maudite

Chapter five

Sans y ajouter un mot je me mis à marcher à moitié exténuée. Je sentais plus mon corp, mal de partout et une forte migraine à la tête.

La colère et la triste m' engloutissaient, la haine contre lui s'accumule à chaque fois qu'il porte la main sur moi.

Mais aux tréfonds de moi, cette haine est que éphémère et une chimère car je ne peux haïr mon père si vraiment je le voudrais.

Seulement mon aversion était plus porter sur le changement de mon père qui lui pousse à m'a battre comme une porcherie .

Ma force c'était de placer ma confiance en Allah et être très endurante.

L' idée de monter les escaliers était très horrifiant. Une fois arrivée à la porte, j'ouvre en m'effondrant subitement sur mon lit à chaude larme.

Je pleure parce que ne supportant plus cette facette de ma vie. Mais j'ai dû comprendre qu'il faisait partir de ma vie. C'est comme si moi et le malheur nous étions intimement lié.

Mes sanglots s'accumulent sans aucun mot, je pleure mon sort pitoyablement. Allah j'en caisse pour toi. Le seul fait d'obéir met en colère d'autres. Or tu es bien le Seigneur de l'univers alors comment peuvent-ils pas se pilier à tes règles Seigneur?

Le seul fait de dire Seigneur je me soumets à toi. il me traite d'une personne d'antiquité ou de carrer. Mais le plus important pour moi c'est adorer.

C'est tellement pathétique, tu n'étais que néant. Mais aujourd'hui on se gonfle d'orgueil. Si seulement si l'on pensait de la même façon. Ils comprendrons juste que le voile c'est juste un voile comme pour tous les autres. Même les nonnes le porte mais pourquoi lorsqu'il s'agit de nous en on fait tout un tapage?

J'étais complément plongée dans mes réflexions que je n'ai pas faire gaffe à mon frère. Qui me supplia d'ouvrir la porte.

" S'il te plaît Sala, ouvre moi tu as besoin des soins "

"...."

" Répond s'il te plait "

"..."

" Fait pas la gamine "

" ...."

Je l'entendis soupirer dû à mes caprices ou dois-je dire la culpabilité?

" Je sais, j'ai fais des erreurs mais si tu ne veux pas me pardonner alors j'accepte car c'est pas le moment, il s'agit de ta santé bon sang Sala!"

Sachant bien qu'il s'en veut à mort mais j'avais cette chose qui m'empêche de lui pardonner. Tout ce qui est dans ma tête c'est d'être seul en ce moment.

Je sanglote puis je saigne. Mon drap fut taché. J' avais pas faire cette remarque lorsque je me suis effondrée.

Il frappait encore la porte mais sans succès. Je ne voulais pas le voir ni lui ni l'autre.

" Sala si tu n'ouvre pas cette porte dans quelque seconde je vais la défoncer."

Dit-il avec un air plus sérieux.

Et surtout je reconnais cet air qui en disait la colère. Ce qui est évidemment, il allait le faire si je n'ouvre pas fallait que je prenne une décision.

Je me lève de ma petite force qui me reste accompagner de cette migraine insupportable puis j'ouvre la porte à peine retourner que je m'ecroule au sol.

Mon frère s'écria puis me rejoint pour me soulever mais je l'arrête à nouveau puis recule. J'avais peur de lui. Je suis terrifiée par lui.

J'ai vu mon frère depuis des années jusqu'au aujourd'hui avec des larmes. Mon frère était - il en larme à cause de moi ?

J'avais pas pris la peine de faire cette remarque quand il est rentré.

"Je ne te ferais aucun mal, c'est moi sala. "

Il parla avec assez de peine et de regret.

Je ne réponds pas encore j'avais pas envie de dire quoique ce soit.

" Je m'en veux Sala, je suis qu'un cruel grand frère et je suis surtout un lâche. Je le reconnais et surtout je le regrette. Je veux juste que tu acceptes que je t'envoie en urgence c'est la priorité. Si tu le veux ne me pardon pas. je le mérite mais accepte mon aide fait le pour Maman. Je t'en conjure ! "

Il coula de larme me suppliant d' accepter son aide mais j'avais trop mal en ce moment pour dire quoique ce soit. Physiquement et psychologiquement j'étais mal.

Mes yeux commencèrent à devenir flous et mes membres me lâchèrent. Je suis devenue toute moite jusqu'à petit à petit le noir venait de m'envahir puis une voix lointaine s'écria.