Chapter eigth

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"Ça peut aller ? "

"Oui Al hamdulilah je vais mieux ,tu ne devrais pas aller au travail aujourd'hui ?

" Oui je dois y aller mais je peux rester avec toi un moment. De plus je suis mon propre patron "

" Effectivement ,c'est pour cela que tu dois y être, tous tes rendez-vous, ne t'inquiète surtout pas je vais bien, tu peux aller tranquillement"

" Tu en es sûre? Je peux tout annuler tu le sais !

" Oui je le sais mais cela n'est pas nécessaire. Vas-y, je te ferai signe en cas de besoin vital"

" sur ce fait, je ne peux plus m'inquiéter inutilement. N'hésite pas de me  faire signe je t'en supplie. Bisou prend soin de toi! Je repasserai te prendre d'accord !

" Oui,grand frère merci * un pâle et froid  sourire  dessina ce rictus faussé et était d'ailleurs démenti par l'inépuisable qui vitrait dans mes yeux de victime.

Trimballer par toutes ces situations  ont finis à ankyloser mes sentiments véritables. Je n'étais plus cette personne pleine de gaieté autrefois mais plutôt cette personne remplie de tristesse et de détresse.

Que puis faire? Tout ceci, j'en subis hélas.

J'appuya le bouton pour avertir une infirmière pour solliciter son aide. Il fallait que je m'apprête pour la prière. Je lui demande si je pouvais rejoindre ma maison; elle me répondit oui mais lorsque monsieur Syllar  Raouf reviendra. Il venait de prendre une décision à ma place. Est- ce vrai qu'il s'inquiète de mon sort à ce point ? Effectivement, sinon pourquoi t'avoir emmené en urgence médicale ? Pour se décharger de son fardeau ! Arrête donc la cogitation malsaine. Il  t'a véritablement secourir car il tient à toi. 

Je laisse accroître une chance en moi pour qu'il ne sera pas éternel. J'essaye de ne pas garder en moi une rancœur de haine surtout  sur son émergence aptitude à mon égard.  Je sais pertinemment que j'en fais trop. Je dis pardonner mais un pardon qui n'est pas absolu.  C'est encore nouveau pour moi d'oublier ces calvaires que j'eus subi antérieurement par leur faute.
Surtout le manque de soutiens qu'il ne m'a amputé tandis que tout mon espoir fut posé sur lui. Et bien, c'est le passé, je me promets de faire des efforts pour pardonner puis avancer. J'ai une lueur de joie de savoir que mon frère est à mes côtés contre le chemin de l'ambiguïté qui m'attend à bras grand ouvert.  Une fois qu'ai-je terminer ma prière, un soulagement intérieure de tranquillité et de gaieté apparaissent. Je demanda un bouquin pour lire afin de me passer le temps. 

Des heures furent écoulées, Raouf n'étant pas encore présent. Je suis arrivée à une fatigue insupportable d'attendre son arrivée. Je devrais pendre un bain pour me sentir propre dans ma peau.   

Tout un long chemin : une naissance maudite Où les histoires vivent. Découvrez maintenant