Avant Toi (Correction en cours)

Chapitre 2: Le bal

Je me suis perdu dans l'histoire d'amour de ces deux personnages sur papier. Parfois j'aimerais y vivre. Dans un livre. Je m'y sens chez moi. Tout leurs soucis se règles à la fin.

Je n'ai jamais vécu dans le dénie et ce n'est pas maintenant que je vais commencer. Alors mes problèmes je les affrontent, les surpassent ou pas mais je fais avec. Je ne trouve pas ma place dans ce monde, ici, les femmes doivent simplement être belle, trouver un bon parti à épouser. Puis fonder une famille. Famille.

Que signifie réellement le mot famille. Il me trouble, j'en veux une bien sur, mais, cela me fait peur. J'ai peur de ne pas être à la hauteur. Beaucoup de famille vivent dans un malheur le plus profond.

Ma famille n'est pas malheureuse mais elle n'est plus comme avant. J'ai une mère et un père aimant. Un petit frère, avec qui je m'entend à la perfection.

Ce que je souhaite par dessus tout, serais de continuer mes études. Je rêverais de voyager aussi et puis me consacrer aux bonnes manières de jeune fille après. Mais mon père n'est pas de cette avis.

Il s'efforce à me trouver un époux. Je n'ai donc pas été des plus accommodante avec mes anciens prétendants. Cela n'a pas réjouis mon père, au contraire de ma mère qui elle n'aurais guère aimé me voir marier à un homme de son âge.

Un vent frais vient me sortir de mes rêveries, la petite fenêtre donnant au jardin est cassée. Quelle heure ce fait il?

Je m'empresse de ranger ce précieux livre puis remonte rapidement les escaliers.
J'écoute précautionneusement les pas du couloir. Personne. Je me faufile donc à l'extérieur pour rejoindre mes appartement.

-Seigneur, vous êtes en vie. S'exclame ma mère en levant les bras théâtralement.

-Vous me cherchiez mère? Dis je innocemment.

-Ma chère enfant, toute la maison vous cherche.

-Oh et bien, je suis là.

-Allons assez bavarder, montez dans vos appartement vos servantes vous y attendent. Me dit elle en tirant mon bras vers les escaliers.

-Oh Apolline, nous sommes invités au bal de Lady Flewniry. Ajoute elle avant de partir vers le salon.

Cela mettait totalement sorti de la tête. Quelle étourdi suis je.

***

Les domestiques mon préparées, je porte une magnifique robe de couleur bleu ciel, les manches son bouffantes et en tulle plus claire. Un rappel avec les manche ce font sur la ceinture ou de la tulle retombe jusqu'au pied.

Mes cheveux son coiffé en un chignon bas avec de petites fleurs, bleues elles aussi. Je lève les yeux vers mon reflet dans le miroir. Je n'aime pas me voir habillée comme cela, ou même coiffée de cette façon. J'ai un sentiment d''inconfort je ne me sens pas moi même.

Ce que j'aime moi ce n'est pas les jolies bijoux, les coiffures parfaites, ou encore les bals. Ce que je veux et que j'aime c'est les grandes balade en forêt à cheval, où mes cheveux s'éparpillent en tout sens en criant à la liberté. Mais aussi faire du tir à l'arc seul dans un immense vergé plein de pommiers et tout autres choses qui fait ça beauté.

J'aimerais simplement pouvoir passer mes journée à lire et vaquer à d'autres activités qui me plaise tant.

Mais ça personne ne le sais. Pour la société mondaine je dois être, toujours polie, joliment habillér et coiffée. Et bien sur, je dois par dessus tout trouver un mari au plus vite, que cette homme soit plus âgée que mes deux parents ou non.