Chapitre 29: Peur

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On arrive enfin en bas des escaliers. Je viens même à me demander si nous sommes pas sous terre tellement nous sommes descendu.

Il s'approche de la porte et l'ouvre doucement.

-Dépêche toi.

Je le colle alors que nous entrons dans un couloir. A peine nous avançons que l'on se fait fusiller. Il me tire derrière lui et m'ordonne de me baisser.

Le mur à un léger mouvement qui nous permet de nous protéger des autres. Elio tire lui aussi, je regarde mon arme entre mes mains mais je ne peux l'utiliser. Le bruit des canon est fort et résonne dans ma tête.

J'ai peur et la peur fait trembler mes membres. Mon envie de vomir est encore plus présente. Y aura il encore des morts?

Le blond est concentré entre le faite de les toucher et de ne pas se faire toucher. Je crois qu'ils sont trois, ce n'est pas vraiment équitable mais Elio n'a dérangé de leur supériorité.

-Putin il ramène du renfort.

Je me suis accroupie derrière lui collé au mur les mains couvrant mes oreilles. Mon corps tout entier tremble comme une feuille, je suis tétanisée et mon corps me violente intérieurement.

-Eh! La fille, m'appel Elio, bouge toi et vas voir si y a personne qui arrive par là bas.

Je le regarde puis la où il m'indique.

-Mais si il y a quelqu'un?

-Tu lui tire dessus idiote.

Il recharge son arme et continu sa lancé de tire.

Ok tu peux le faire Apo, y aura personne, la voix sera libre. Fais comme lui.

Inspire,

Expire,

Je me lève les jambes flagellante. Je pointe mon arme devant moi les bras tremblant et avance à petit pas dans le sens inverse des hommes qui nous tire dessus.

Le couloir est sombre, bruyant seulement du combat que livrent ces hommes.

La lumière fait son apparition au bout. De toute évidence c'est de la lumière naturelle, donc une possible sortie.

Faite que ça soit une porte.

Faite que ça soit une porte.

C'est un porte. Deux grandes bais vitrées, donnant sur la cour ou je m'entraînais à tirer. Je sais où nous sommes à présent et c'est rassurant. Ce manoir est énorme et je n'ai jamais eu l'occasion de visiter plus que ce que j'avais le droit. Mais le parc donnent sur une immense forêt, donnant elle mer probablement sur la route.

J'essaie de les ouvrirent comme je peux mais elles sont fermé à clé. Il faudrait casser les vitres.

Je regarde le sol ou j'ai posé mon arme.

C'est une idée Apo.

Je le reprend en main et pointe l'une des vitres du mieux que je peux. Je n'aurais pas 2 chance car le premier coup risque déjà de faire du bruit et de ramener tout les hommes qui travail ici.

Ok, respire Apo, tu peux le faire.

Je ferme un œil vérifie la sécurité et...

-Arrête!

Je sursaute et manque de tirer par accident. Je me tourne vers la voix qui malheureusement n'est pas celle d'un grand blond.

-Lâche ton arme, dit l'un des jumeaux.

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant