Chapitre 3: Un père

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Hello, voilà le 3eme chapitre. Bon je vous avoue que au début les mots employé serons très soutenu mais le vocabulaire vas se faire de plus en plus familier. Et vous m'excuserais si il y a des mots, objets, ou autre qui son mentionné mais n'exister pas a cette époque, car moi non pus alors je ne suis pas toujours, sur de mes sources.

PS: Les mafieux arrivent bientôt. ;)









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Nous sommes rentrés il y a de cela environ une heure. Quelques hommes m'ont accordés des danses mais sans suite. J'ai si mal aux pieds, certains de mes cavaliers étaient maladroits.

Je crois bien que danser m'a donné la nausée, maintes fois j'ai faillis régurgiter mon diner. A force de tourner en rond. Je ne veux plus aller à un bal. Comme si j'en avais le choix, et la possibilité.

Je sais que demain quand père voudras en discuter, il sera déçu. Il veut tant que je me mari. Quand je suis arriver à la maison il était déjà couché. Alors je me suis dépêché de monter dans ma chambre de peur de l'avoir réveillé et le croiser.
En temps normal il m'aurais subjuguer de question.

Enfin je ne peux en réchapper de tout façon. Alors je vais m'endormir en me préparant à affronter les remarques désobligeantes et méprisantes que père me fera demain. Mais si je peux repousser un moment désagréable, je le fais avec plaisirs.

***

Le visage et le corps réveillé, Annette m'aide à enfiler cette robe couleur rose-crème. Mes cheveux sont coiffées en chignon bouclées. Les cernes résiste à la "poudre cachée misère" comme j'aime l'appeler, ce qui laisse quelque trace violette sous mes yeux.

Les marches des escaliers défilent bien trop rapidement sous mes pieds. Et la silouhaite vieillie et grossie par le temps, de père, apparait immédiatement dans l'encadrement de la porte.

Je souffle intérieurement.

-Bonjour père, bien dormi?

-Bonjour Apolline oui merci. Nous devons discutez, m'annonce il.

Monsieur présomptueux est de retour.

Je ne serais dire quant à t-il tant changé. Je me souviens encore quand j'étais à peine plus âgée de 4ans, il m'amener faire des balades à cheval. Tout les fin de semaines, il nous faisait préparer des déjeuners que nous mangions au bord d'un grand lac, près de Audenshaw.

Je reprend ma route en direction du salon pour y petit déjeuner.

-Avec plaisir, dis je ironiquement, puis-je tout de même nourrir mon corps qui réclame la bonne viennoiserie disposée sur la table?

-Apolline! Retrouve moi dans mon bureau dès que tu as fini, dit il d'un ton froid et autoritaire.

Je ne me presse pas pour manger. Mais je me dit que j'ai assez fait tarder le moment. J'empile mes couverts et me lève en direction de son bureau.

-Apolline! S'exclame mère dans mon dos.

-Oui? heureuse que quelqu'un m'interrompe dans ma descente au enfer, je retourne vers le petit salon..

-J'ai discuter un petit peu avec votre père, avant de nous coucher.

-Et dois je m'inquiéter ou non?

-Et bien pour être honnête, il était énerver et pêné pour vous. Alors bon courrage.

Rien que je ne sache pas, mais tout de même pêné, cela m'étonne. J'ai bien vu qu'il était énervé mais pour que mère le dise d'elle même. Enfin après ça je ne suis pas plus courageuse d'affronter le diable.

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant