Chapitre 8: Un saut, une chance...

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-Personne ne pourra s'opposer à ce mariage vous en êtes sur Alfonce?

-Bien sur, maintenant que ma défunte épouse n'est plus là, je suis le seul à pouvoir décide, ricane mon père.

Comment peut il parler d'elle ainsi, sans une once d'émotions. « Sa défunte femme »?

-Puis je savoir ce qui lui est arrivé à votre femme.

Mon père ricane. Un rire sanglant et rauque. Dénuiez d'amour. L'amour qu'un mari doit avoir pour sa femme, vivante ou non. Un mari devrait toujours aimer sa femme.

-J'ai pris les choses en main pour ma fille, mon père.

« les choses en main »? comment ça? Que veux t'il dire par là. Il n'aurais quand même pas pu lui faire du mal?

Je ne reconnais plus cet homme sensé être mon père. La chaire de ma chaire. Celui qui m'a élevé, appris à marcher, à parler, à aimer. Il ma éduqué, ma chérie. Fut un temps où il était tout pour moi. Où je ne demander que lui.

N'a il donc aucun souvenir? M'aurait il oublier? Ou m'aurait il juste menti?

-Heureusement pour vous que vous me payer bien et que nous sommes bon amis i Alfonce, car je reste un homme d'église. Alors que dieu vous pardonne mon fils.

-Dieu me comprend mon père. Et vous, vous comprenez que de nos jours un silence s'achète, dit il en lui glissant un billet.

Je n'entend plus un seul mots de leur conversation. Mon père achète le silence d'un prêtre. Comment peuvent ils être si impertinent envers dieu? C'est mon père lui même qui ma envoyer pour la première fois à l'église.

Et maintenant il est corrompu pour quoi? Un mariage? Une alliance?

Mes jambes me semble disparu. Comme depuis le début de se calvaire je crois qu'elles se sont volatiliser. Mais non, elles me tiennent droite comme un piquet, elles restent avec moi jusqu'à ce que mon poids soit trop lourd. Elles sont là physiquement, seulement physiquement.

Et les voix des deux hommes, ou plutôt des deux monstre. Se rapproche de moi alors mes jambes se mobilise jusqu'au mur entre son bureau et les escaliers. Lequel je monte à toute vitesse.

La porte de ma chambre ne m'arrête pas dans ma course, je la franchie elle aussi rapidement pour m'isoler de lui. Ma respiration est saccadée et brulante. Chaque expiration me brule les poumons, c'est si douloureux. Si douloureux de vivre dans un monde d'homme.
Si douloureux de vivre sans avoir le choix, si douloureux de vivre...

L'horloge de ma chambre indique treize heure. Déjà! Comment le temps a il pu passer aussi vite? Les servantes vont bientôt arriver pour me préparer.

Je me me dégage de la porte vers cette magnifique robe blanche. Je passe mes mains dedans, la tulle est douce et légère. Elle doit être confortable, elle me rappel tant ma mère.

Quelqu'un tape a la porte de ma chambre. Ce doit être les soubrettes.

-Oui, dit je sans trop de conviction

La porte s'ouvre sur cinq servantes. Et une Annette, souriante.

-Nous venons vous préparer, me dit elle. Jeanne aller faire coulez un bain à mademoiselle.

Jeanne se dirige vers ma salle de bain. Ce doit la plus jeune, plus âgée que moi mais de seulement quelques années. J'ai eu peut de fois des contacte avec elle. Il me semble qu'elle vague entre notre domaine et celui de nos voisins.


Jeanne me frotte le dos avec un éponge. C'est un moment agréable, surement le premier depuis le début de la journée. Je me détend un petit peu. Les autres prépare des affaires et ma robe.

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant