Chapitre 9: Les étrangers

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Hey! Un rapide petit message pour vous dire que j'avais tellement hâte d'écrire ce chapitre! J'avais peur de ne pas réussir qu'il ne soit pas cohérent mais j'avoue que je suis plutôt contente de moi. Dite moi vraiment si vous avez aimé, ce que vous aurez amélioré, fait différemment ou même si c'était parfait.

J'écrirais un petit truc à la fin pour ça! Maintenant je vous laisse avec la maladroit et catastrophique Apolline. Xx











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Je n'ai pas assez de force dans mes muscles qu'ils s'aident sous mon poids. Je glisse le long du draps mais parviens à me rattraper à temps pour amortir ma chute.

Les couches de tissus qui m'entour me fond une impression de coussin. Je sens mes fesses picoter mais que très légèrement car le tissus a largement recouvert le sol en béton. Heureusement que j'ai gardé cet robe.

Je pène à me relever car la tulle c'est éparpillé sur mon visage. Quand je me met enfin debout un cri de stupeur retenti de l'étage.

-APOLLINE!! Hurle mon père.

Je ne perd pas plus de temps car je sais bien que si il me trouve, ce qui ne tardera à faire, j'en payerais les conséquences. Et je crois que mon « fiancé » ne sera, lui non plus, très agréable. Et je ne veux pas subir plus de châtiment.

Un sentiment de peur et d'excitation m'envahit. Et j'adore ressentir ça, je me sens forte et capable de tout.

Alors je retrousse le bas de ma robe dans mes mains, et descend les escaliers à toute vitesse. Je jette un coup d'oeil dans le grand jardin devant moi puis à l'étage, sur mon balcon.

Là ou un homme au visage que je ne connais que trop bien me regarde avec haine.

-Apolline revient là immédiatement!

Sa voix et ferme, il ne me reste aucune autre solution. Mon père ne m'en laisse pas le choix. J'en suis obligé. Alors je tiens plus fermement ma robe détourne le regard du sien plein de fureur. Puis par à toute vitesse vers le fin fond du jardin déversant sur une immense forêt.

Je cours malgré la robe, malgré les chaussures, malgré cet air frais du mois de janvier qui me gèle la peau dénudée. Mes pieds s'enfoncent dans ce terrain humide. Les cris de mon père, ses ordres, les menaces qu'il doit proférées envers moi me parviennent en fond. Mais les chants des oiseaux de la forêt viennent recouvrir, ses jurons.

J'arrive à l'entré de la forêt et m'arrête, net. Un stresse totale m'envahît. La forêt est un point de non retour, suis je prête, suis je capable? Je ferme les yeux, me tourne lentement et inspire profondément. J'ai l'impression de revivre tous ces beaux moments passer au près de ma famille, dans ma maison, mes jardins.

Une vague de tristesse déferle en moi. Un peut totale de l'inconnue. Peut d'abandonner ma vie, toute mon enfance. De laisser une partie de moi ici.

Je vois le visage de ma mère, de mon frère, celui de ma grand mère. Ces personnes auquel je tiens le plus. Celle qui prennent toute la place dans mon coeur. Mais il ya aussi mon père malgré le faite qu'il ai changé et que c'est de sa faute que je part, je l'aime.

J'ouvre les yeux, le coeur lourd, mais reviens à la réalité quand j'aperçois au loin des hommes à cheval galoper vers moi.

-Oh non, je souffle.

Je me retourne face à cette foret qui s'assombrit si loin, que l'on en voit même pas le bout.
Expire, pour dégager la peur, il faut que ce sentiment venu plus tôt revienne, il faut que je sois courageuse.
Je me remet à courir aussi rapidement que possible oubliant la peur.

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant