Chapitre 4: Le duc

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Tout les yeux se tournent vers moi. J'ignore, car si nous devions écouter et êtres affectés par ce que raconte les domestiques, bon dieu!

Je défile dans le couloir pour atterrir devant les marches d'escalier.

-Mademoiselle!

Je souffle,

-Oui? Je dit en me retournant d'un air incrédule.

-Nous vous cherchions depuis bien longtemps. Votre mère, elle vous attend dans votre chambre.

Encore ne peuvent ils jamais ce passer de moi?

-Merci Robert.
Il me salut puis repart à ses occupations.

Moi, je monte. Avec joie et bonheur. Non pas que voir ma mère me dérange mais discuter si.
Je ne suis pas spécialement quelqu'un de bavarde ou même sociable mais lorque il s'agit d'exprimer mes sentiment c'est bien pire. Dans ces moments là je me sens si vulnérable. Alors un discussion comme mère va me réclamer, sans façon.

-Mère, vous êtes là?

-Oh seigneur! Vous m'avez fait une peur bleu ma chère enfant, où étiez vous encore passer bon sang.

-Excuser moi j'avais besoin d'être seul.

-Non, c'est bon, ne vous excusez pas. Je... je comprend! Dit elle en se levant d'une chaise.

Elle vient me prendre délicatement les bras. Ce contacte me fais beaucoup de bien, il m'apaise et me soulage, car elle est ma mère, elle me chérie et m'aime depuis toujours.
Nous nous asseyons sur le bord de mon lit.

-Avez vous parler?

-Peu, mais oui. Je t'ai vu partir et j'ai su qu'il me devait une explication.

Entre maman et moi il y a cet proximité émotionnel. Nous nous vouvoyons la plus part du temps, ou en présence d'autres personnes. Mais quand nous sommes toute les deux, dans un moment intime cette barrière disparaît.

Et cela renforce toujours plus notre relation. Cette relation est celle à laquelle je tiens le plus, et je sais qu'elle aussi. Ça a toujours été elle et moi. Elle est là personne que j'aime le plus au monde et le restera à jamais. Je lui donnerais ma vie et cela je ne le ferais pour personne d'autre qu'elle.

-Il fait ça pour votre bien, commence elle, je ne pense pas que lui vois le mauvais côté.

-Mais je ne le connais même pas!

-Du calme mon enfant, je sais bien. Mais je ne pense pas que cet homme soit si mauvais ou quelquonque autres méfait. Ton père t'aime malgré qu'il ne montre rien. Alors, ne lui en veux pas, rencontre le Duc. Armand, et nous verrons après.

Un duc! Il n'a donc pas fait les choses à moitiés.

-Promettez moi d'être là, de me soutenir si il ne me convient pas si il...

-Je te le promet ma chérie. Je te le promet. Fini elle en me caressant le cuir chevelure.



***




26 mai 1816,
Domaine des Dixon,

J'attends dans le salon le cœur serré. Mère discute avec un domestique dans le couloir, père lui attend dans son bureau.

Nous ne nous sommes pas vu et nous n'avons pas vraiment parler, mère à jouer les intermédiaires. Je n'est pas souhaiter plus en discuter. Rester dans ma bulle et cogiter seule me convient parfaitement.

Des mouvements dans l'entrée m'indique que c'est l'heure.

Inspire,

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant