Avant Toi (Correction en cours)

Chapitre 10: Roy

Ils sont tous vêtus d'une drôle de veste noir, sauf celui qui pointe l'arme en ma direction la sienne se rapproche denim. J'essaye de reculer avec mes mains et ma jambe valide.

-Drôle de marié, s'exclame l'homme au pantalon noir à ma droite.

Il est grand et imposant. Ses habilles n'ont aucunes couleurs, il est simplement vêtu de noir.

Je regarde vers celui qui a parlé en essayant de comprendre quelque chose.

-La ferme Elio, dit l'homme à l'arme. Lui a un t-shirt bleu et un pantalon de la même couleur, dans une matière que je n'ai jamais vu auparavant. Il baisse enfin son pistolet et le coince dans son dos.

J'ai replacé mes yeux dans les siens et nous nous fixons en silence.

-Tu es avec eux?

Il me parle à moi là? Je ne comprend même pas de qui il parle? Serais ce mon père?

-Répond à ma question, s'impatiente il.

-A...avec qui? Ma voix est si faible que je me demande si il m'a entendu.

-Fait pas l'innocente qu'est ce que tu ferais dans cette forêt seule. Y a rien à des kilomètres. Alors je recommence, es-tu-avec-eux?

Il fait une pause et un pas entre chaque mots. Il est plus proche et son regard m'effraie la noirceur qui se dégage de lui est effrayante.

-Je ne comprend pas.

-Elle est stupide ou quoi? Rajoute pantalon noir.

Je tourne la tête dans tout les senses à la recherche d'une issus. Je cherche une chance de m'échapper.

-On devrais pas rester là Roy. Si ils arrivent à la bagnole avant nous... Commence un type à ma gauche.

-Je sais merci. Elio, tu la prends avec toi dans la Wrangler et tu vas direct à Stockport, nous ont emmène Lise à l'hôpital. Compris.

-Ouais M'sieur.

J'essaye en vain de comprendre ce qu'il dise mais c'est comme si il parlait dans une autre langue. Je ne pense pas qu'il soit aux ordres de mon père. Je n'ai jamais vu des type comme ça.

-Aller idiote tu viens avec moi.

Je n'ai même pas le temps d'assimiler que pantalon noir m'attrape le bras, et me remet sur mes jambes. Je gémis de douleur.

-La ferme tu vas nous faire repérer.

La blessure que je me suis faite me brûle. Le sang n'a pas arrêté de couler. Je place une main dessus pour stoppé un petit peu.

-Que me voulez vous?

-Tu parles tiens donc, il me tire par le coude mais je n'arrive pas à le suivre avec ma jambe.

-Attendez, attendez.

Il ne me répond pas et continue à me tirer.

-C'est ma jambe, j'ai mal.

-Ouais ben on regardera ça dans la voiture si tu veux bien, je suis pas d'humeur à me prendre une balle dans la tête par ton chef ou je ne sais quoi.

-Mon père? Vous l'avez vu?

Il rit au éclat, son rire et fort et strident.

-Ton père? Tu vas pas me dire que le connard de Fatz est ton padré? Honnêtement je serais bien étonné.

-Mon quoi? Leurs langages est si étrange, ils parlent anglais mais ils emploient des mots différents.

Je ne peux pas le suivre. Et si il me ramenait au manoir. Je n'y est pas pensé mais si ces hommes était au ordre du duc. Je doute qu'il soit plus aimable après ma fuite.