Chapitre 5: Sans toi.

684 27 4
                                    

Hey, bon désolé si ce chapitre à été un peu plus long à arriver. Il m'a beaucoup émue mais je ne vous en dirai pas plus!

Alors comment ce nouveau prétendant, ou plutôt fiancé, est? Vous l'aimez bien?Je vous laisse découvrir ce chapitre... XX

____________




Ce matin je me réveille seule avec les bruits agités de la maison.

Jamais Anette n'a manqué un réveil. Mais j'entends qu'il n'est pas trop tôt car un mouvement se fais entendre dans le couloir.

Étrange.

Je pousse ce drap, pour goûter à la fraîcheur du parquet de ma chambre. Et mes pieds me guident à ma chaise où ce trouve une robe de chambre.

Je l'enfile puis tourne la poignet, pour me donner une explication sur ce vacarme.

Des domestiques affolés, allant de gauche à droite. En haut des escaliers Annette et Madelaine, la domestique de ma mère, devenu une bonne amie, en larme.  Elle pleure dans les bras d'Annette, qui essaye de la rassurer.

Alors je me sens obligée d'aller à sa rencontre.

-Madelaine tout vas bien?
Elle tourne sa tête rougis et humide vers moi.

-Oh ma pauvre fille. Toute mes condoléances.

Mes sourcils se lève et mon regard cherche une explication.

-Euh excusez moi, mais je ne comprend pas? Dit je perplexe.

-Oh, fit elle en plaçant une main sur sa bouche, vous n'avez pas appris.
Elle lâche les mains empâté d'Annette, et viens me prendre les miennes.

-Que ce passe il Madelaine?

-C'est votre mère, elle a perdu la vie cette nuit.

Et ça recommence. Jamais avant il y à une semaine, je n'avais ressenti cela. Mon âme qui quitte mon corps et se fige.

Aucune larme ne coulent sur mes joues car je suis sous le choque, je ne peux y croire. Je n'ai jamais aimer personne plus que ma mère. Alors la personne qui compte le plus à mes yeux ne peux me laisser.

Je n'y crois pas.

Impossible, non.

Alors je me risque à la voir de mes propres yeux.
Et la main de son amie glisse le long de mon bras. Elle m'appelle, me supplie rester là.
Mais je n'entend pas mes oreilles sont entouré d'une bulle provoquant un bourdonnement infernal.
Et j'avance, j'avance rapidement jusqu'à la dite chambre. Un médecin est penché au dessus du lit. Dans le coin de la chambre un homme que je ne connais trop bien.

Son visage est neutre bien trop neutre pour un mari qui vient de perdre sa femme. Il n'a pas l'air d'avoir versé une seule larme. Il reste debout, les bras croisés sur sa poitrine, neutre encore et encore.
Quand je fais un pas dans la chambre, là seulement, il lève les yeux du lit pour me regarder l'air impassible.

Je ne tente même pas de le défier du regard car mes yeux tombe immédiatement sur le corps livide de la femme qui m'a donner la vie.

Elle est là, endormie, sereine. Elle est apaisé. Mais sont corps ne bouge pas, sa poitrine ne se rempli plus d'oxygène, elle ne se souleve plus au rythme de son cœur.

Je cours jusqu'à elle, enfin son enveloppe charnel car son âme, elle, à déjà du s'envoler jusqu'au paradis.
Le médecin fait une prière avant de s'en aller!

-Où allez vous? Je lui dis la voie irrité.

-Et bien j'ai finis les examens mademoiselle.

-Mais vous ne pouvez rien faire? Que lui est il arriver?

Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant