Chapitre 7: Demain

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Hello, vous allez bien?
Alors alors les choses changent pour Apo. Vous pensez qu'il sera un bon mari ce duc?

En tout cas il n'est pas très doux et assez louche! Mais Apolline est forte comme femme et elle est courageuse.

On avance dans l'histoire alors continuez à suivre Apolline. Si vous avez des questions ou des choses à me dire n'hésitez pas.


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Il se lève. Lui le peut encore. Quant à moi je reste étalé dans le divan. J'ai mal, mal partout. Ma joue me fait mal, elle pique, elle me démange. Mais j'ai bien plus mal à l'organe qui pompe se sang, sous ma poitrine. Et ce mal me viens de lui, l'homme gras en face de moi. Car il inflige à mon cerveau des images si douloureuse, que mes yeux s'humidifie et mon cœur me gèle. Alors je tremble car j'ai froid. Je suis frigorifié.

-Bonne fin de journée Apolline. Et à demain. Pour nos fiançailles.

Il insisté tellement sur ce dernier mots, que j'en est la nausée. Je ne dis pas un mot, je ne le regarde même pas. Je fixe le sol, mes mains aggripant le bras opposé. Et ses pas s'éloignent, jusqu'à ce que je ne les entendent plus.

Alors mon sang se réchauffe plus les minutes passe dans ce salon, où je suis encore seule. Elles passent si vite que je ne sais combien de temps je suis resté là. Assise les genoux collés à ma poitrine. Mais de nouveaux pas me font sortir de ma bulle.

-Mademoiselle tout vas bien?

Je lève la tête et c'est ma domestique qui ce tiens sur le seuil de la porte.

-Oui...oui j'aimerais juste aller me coucher Annette.

-Vous ne voulez pas dîner?

-Non. Non merci.

Mes jambes se mouve enfin pour me tenir debout. Et mes pieds nous guide moi et mon cœur, lâche et triste, aux escaliers.

Annette me déshabille. Je vois dans le miroir qu'elle regarde mon bras droit. Et ses yeux trouvent les miens. Mais cette femme est assez intelligente, elle n'a donc pas besoin que je lui explique la raison de ces traces . Les larmes me montent encore aux yeux, je daigne les faire couler alors j'arrête de respirer. Ce qui fait encore louper un battement à mon cœur. Mais cette fois mes jambes ne me retienne plus. Elles cèdent sous toute cette douleur intérieur et extérieur qui me brûle.

Je m'éffondre par terre. Mes mains ce fixe sur mon visage mouillé de larme. J'exteriorise, tout, par mes pleures bruyant. J'ai envie d'hurler, de crier. Mais je ne montrerais pas cette parti de moi. Le faites que Annette me voit pleurer, je me sens déjà faible.

-Apolline je vous en pris, me chuchote elle.

J'essaye de contrôler ma respiration  saccadé. Inspire, expire, inspire, expire...

Les mains d'Annette sur mes épaules me gêne. Alors j'essuie les dernières perles d'eau sur mes pommettes et me relève.

-Excusez moi. Je...je suis épuisé. Je vais finir. Vous pouvez y allez, merci.

Elle hésite un instant mais cède finalement en me saluant poliment de la tête pour sortir se diriger vers la sortie.

-Oh et s'il vous plaît. N'en parler à personne.

-Bien sur mademoiselle.


Se soir je me couche le cœur lourd. Malgré le faite que pleurer m'ai fait du bien je suis toujours promise en mariage... demain. Alors ma peine est ancré en moi.



Avant Toi (Correction en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant