Chapitre 16: Sous les feuilles (2)

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Ce n'est qu'à ce moment-là que Max réalisa à nouveau qu'elle ne portait qu'un mince vêtement autour de son corps autrement nu. Elle tremblait, non pas du froid qui recouvrait la chambre, mais de son regard chauffé uniquement entraîné sur elle.

Soulevant légèrement ses hanches, il sortit les draps par le bas et les jeta négligemment au sol. Max tira précipitamment la tunique vers le bas et lutta pour couvrir ses jambes.

En vain, il a simplement poussé l'ourlet de sa robe et a attrapé sa poitrine d'une manière qui déjouerait ses efforts pour rejeter ses actions. Elle laissa échapper un cri aigu.

« Ick! »

La sensation de mains chaudes et rugueuses touchant sa peau douce était indescriptiblement pittoresque et intense.

« Euh, euh, euh... »

« Arrêtez ce bruit. Vous ne connaissez même pas le nom de votre mari, n'est-ce pas? »

L'homme qui frottait son nez contre la peau délicate de son cou leva la tête et lança un regard insatisfait. Max cligna des yeux comme un hibou.

Elle tremblait et, à travers les coins de ses yeux, vit sa tête descendre. En une fraction de seconde, Riftan l'embrassa, les lèvres incroyablement chaudes et douces; un contraste frappant avec les mots durs et violents qu'il prononçait.

« Ne soyez pas si gêné. Notre mariage n'était pas normal, comme vous l'avez dit, mais il était inévitable. Maintenant, il faut s'habituer à moi.

Un doigt chaud et dur balaya les cheveux sur son front. L'action douce inattendue l'embarrassait. Ses lèvres touchaient constamment ses joues, ses tempes et son lobe d'oreille. Des cuisses caillouteuses se tortillaient sous ses hanches tandis que son souffle chaud narguait son cou.

Il attrapa l'ourlet de sa robe, Max ferma les yeux. Elle en avait déjà fait l'expérience et savait ce qui allait suivre. Plus que toute autre chose, elle était consciente de la douleur que cela aurait.

Sentant son corps tendu, il poussa un petit soupir.

« Ne soyez pas tendue, cela ne fera que vous blesser. »

« Ha, mais... »

« Ce n'est pas notre première fois. » L'homme qui lui avait mordu la partie inférieure du cou, hésita un instant et demanda.

"... Non? »

Ses lèvres dessinèrent un sourire serré alors qu'elle le regardait dans les yeux. Max ne pouvait pas se résoudre à dire non. Après tout, Riftan a refusé de sceller sa relation avec la famille royale pour tenir ses vœux de mariage. En tant que telle, comment pouvait-elle refuser son mari dans la chambre à coucher?

Secouant la tête après beaucoup d'hésitation, Max lui donna son consentement. Ne laissant plus de temps lui échapper, Riftan enfonça sa langue profondément dans sa bouche, comme s'il avait soif, la goûtant dans tous les coins. Elle posa par inadvertance ses mains sur ses muscles pectoraux, ses doigts se recroquevillèrent de surprise devant le lourd battement qu'il émanait.

Ses lèvres trempées de salive saupoudraient de petits baisers sur le bout de son menton, puis descendaient lentement sur son cou, s'attardant sur la clavicule pendant un moment. Ses respirations déchiquetées et la sensation humide de sa langue faisaient tenir les poils sur son dos.

« Levez les bras. »

Elle leva le bras dans un mouvement raide et le sentit dépouiller ses vêtements au-dessus de sa tête. L'air froid mordait sa peau nue et Max couvrait sa poitrine d'un accès d'embarras, la serrant fermement dans ses bras. Pour la mettre à l'aise, Riftan a fait pleuvoir des baisers sur ses épaules.

« Je vais le faire  ... aussi doucement que possible.

Elle leva les yeux vers lui avec des yeux tremblants. Les yeux de l'homme descendirent alors avidement. Elle suivit son regard et se regarda sous la lumière.

Poitrines rondes, abdomen plat, cuisses pâles et blanches et sa tache tendre entre les deux. Elle se sentait plus sensible à la vue nue de ses doigts touchant ses monticules. Il mordit sa clavicule de manière ludique et lui suça la poitrine.

Max haleta. Elle pouvait sentir sa langue mouillée dessiner des cercles sur sa peau. L'étrange sensation envoya un frisson palpitant de son cou à ses oreilles.

« Hé, hé, attendez une minute... »

« Riftan », grogna-t-il.

Il suça douloureusement sa poitrine, comme s'il la punissait. Max poussa un petit cri. Il relâcha ses mains de sa prise et la laissa les enrouler autour de son cou. La chaleur qu'elle ressentait de son corps et la texture douce de ses cheveux la rendaient malade à l'estomac.

« Appelez-moi Riftan. »

« Oh, hé, hé... »

« Appelez-moi, » ordonna-t-il doucement.

D'une voix frémissante, elle a parlé: « Ri... Riftan.

En entendant cela, ses épaules se secouèrent de haut en bas. L'homme marmonna bruyamment ses mots incohérents, puis leva la tête et l'embrassa férocement. Ses bras chauds et musclés se resserrèrent, comme pour lui casser la taille.

La première passion qu'elle éprouva, elle haleta et s'accrocha involontairement à son cou. Un sourire agile s'éleva progressivement sur ses lèvres.

« Oui, accrochez-vous fermement comme ça. »

Alors qu'il était fasciné par son premier sourire, il lui tenait la tête dans une main et l'embrassa passionnément. Son autre main caressa doucement son bas-ventre et manœuvra habilement entre ses jambes.

Conscient de ses actions intrusives, Max serra précipitamment ses cuisses jusqu'à la fin, mais ne put arrêter sa main qui avait déjà atteint sa destination souhaitée.

Il bougea ses doigts avec précaution. En même temps, Max broncha à la sensation d'une piqûre indubitable contre son estomac.

Under the Oak treeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant