Vingt-huit : Sous tension

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⚠️ sex consenti ⚠️

Avant que vous ne lisiez ce chapitre je voulais vous prévenir que c'est la première fois que j'écris ce genre de scène (bien que je ne soit pas beaucoup rentré dans les détails) donc elle n'est vraiment pas super bien écrit.

J'espère aussi que la vision du sex aborder dans ce chapitre ne vous gênera pas. Et si c'est le cas je m'en excuse d'avance et je vous préviens que presque toute les scènes de sex seront pareil.

J'ai beaucoup hésité à travailler cette partie de la personnalité de Cassio de peur que ça ne plaise pas. J'attends vos retours et pourquoi pas vos conseil avec angoisse et impatience.

Sur ce bonne lecture 😘
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PDV Cassio :

Une fois la sauvageonne attachée, je file sous la douche. Ce n'était pas prévu, je comptais juste l'attacher pour être sûr qu'elle ne se volatilise pas dans la nuit mais elle n'était apparemment pas du même avis ce qui a finis en joute verbale. Et malheureusement ça a finis par réveiller la bête.

Une fois dans ma douche, je tourne les jets au plus froid pour essayer de faire baisser la chaleur de mon corps. Les mains posées sur le marbre anthracite, le dos vouté et les muscles bandés j'essaie tant bien que mal de faire cesser la tension qui m'habite. Mais c'est peine perdu car à chaque fois que je ferme les yeux je la revois sur ce lit soumise à ma merci et pourtant le regard remplis de provocation et de défis.

Ah ce que j'aimerais lui effacer ce petit air rempli de bravade qu'elle porte depuis quelques jours. Et pourtant d'un autre côté une partie de moi se confle à l'idée qu'elle soit assez en confiance pour oser me tenir tête malgré la position dans laquelle je l'ai mise.

Ces pensées n'ont fait qu'empirer mon état et ma main ne saurait seule me soulager. Je coupe l'eau, sort de la douche toujours aussi tendu si ce n'est plus que lorsque j'y suis entré et entour mes hanches d'une serviette. J'attrape rapidement un tee-shirt et un jean que j'enfile sans prendre le temps de mettre un caleçon. Je prends mon téléphone et fais défiler la liste de mes contacts jusqu'à tomber sur le numéro d'une personne disposé à rappliquer le plus rapidement possible.

De moi :

Ramène toi.

La réponse ne tarde pas comme si elle attendait mon message alors que je suis sensé être à des kilomètres de sa position.

De Katie :

J'arrive. Même adresse ?

De moi :

Oui. 4 ème étage. Ne traîne pas.

De Katie :

Bien monsieur je serais là dans 5 minutes.

Je glisse mon téléphone dans l'une de mes poches et me dirige dans l'ascenseur. Durant le trajet jusqu'à mon autre appartement situé au quatrième étage je regrette de n'avoir pas fait de saut dans la pièce au fond du couloir. J'ai vraiment besoin de me défouler et Katie a tendance à ne pas savoir tenir en place.

Dès que les portes s'ouvrent je quitte l'ascenseur direction mon petit appartement. Il est loin d'être très grand, juste le strict minimum. Une chambre, une salle de bain et une pièce à vivre qui fait salon et cuisine. Mais se sera largement suffisant pour ce que je compte y faire.

J'ai seulement le temps de poser mon téléphone dans un coin et de dénicher une paire de menotte dans l'un de mes tiroirs qu'on toc à la porte. La petite sauvage a raison même si ça m'arrache le cœur de l'avouer. J'ai vraiment des menottes dans la plupart de mes résidences et j'en convient que c'est assez déroutant pour le commun des mortels. Je décide de ne pas faire plus attendre mon invité car mon entre jambe lui est d'une impatience hors norme.

Alzarsi | T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant