⚠ Sexe non consenti et langage très grossier. ⚠
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PDV Enola :Il a dû passer bien une demie journée depuis que l'homme, Rick est parti. Et mon estomac me le fait bien ressentir. On pourrait croire que j'ai fini par m'habituer à avoir la faim qui me tiraille le ventre.
Mais ce n'est pas le cas. C'est pourquoi après au moins un jour sans manger ni boire, ma gorge est si sèche que si j'essayais je n'arriverais même pas à parler et mon estomac est si vide qu'il m'en fait atrocement mal.
Je risque de perdre connaissance à tout instant mais je lutte du peu de force qu'il me reste pour retarder au maximum l'inévitable.
Au moment où mes paupières sont si lourdes que je n'arrive même plus à les ouvrir, des bruits de pas suivi d'une clé tournant à l'intérieure d'une serrure retentissent. Et quelques secondes plus tard je sens qu'on me secoue.
Je trouve alors la force de me redresser pour faire face à Rick qui m'observe d'un il lubrique, un plateau dans les mains. Sans faire aucun effort il laisse tomber le plateau qui s'échoue au sol juste devant moi.
Renversant au passage un peu de ce qu'il contenait. Il n'y a pas grand chose dedans, juste une petite bouteille d'eau et une espèce de purée de je ne sais quoi. Même pas de couvert. Mais vu qu'une chienne ne mange pas avec une fourchette, je ne semble pas non plus en mériter.
- Manges ! Me somme-t-il.
Je ne perd pas de temps à me demander ce que c'est que j'attrape un peu de la sorte de purée et la mange. De toute façon si je savais ce que je suis en train de manger, je serai peut-être trop dégouter pour me nourrir. Alors autant rester dans l'ignorance.
Je termine tout ce que le plateau contient en quelques minutes. Déjà parce qu'il ne contient pas grand chose, parce que je meurs littéralement de faim et de peur qu'il ne me laisse pas finir si je met trop de temps à son goût.
Je pensais qu'une fois que j'aurais finis il aurait utilisé cette excuse pour profiter de moi ou qu'il se serait tout simplement barré. Mais il ne fait aucun des deux, il se contente de m'observer voir même de m'analyser. Chose qui me met extrêmement mal-à-l'aise.
- C'est dommage que je ne puisse pas te baiser de suite. Finit il par lâcher réellement déçus.
Je ne comprends pas pourquoi il me dit ça et encore moins pourquoi il ne peut pas mais je ne m'en formalise pas. Au contraire savoir qu'il ne compte pas me violer de suite me redonne une infime lueur d'espoir.
Mais je reste tout de même sur mes gardes. Avec lui on ne sais jamais, peut-être qu'il attend juste que je baisse ma garde pour passer à l'action et ainsi encore mieux me briser.
- Bon maintenant que tu t'es nourri, je vais pouvoir t'expliquer comment les choses vont se passer. Déjà je serai le seul à m'occuper de toi. Enfin normalement, parce que peut-être que le boss passera pour voir l'avancer de mon travail. J'ai un mois pour faire de toi une parfaite petite esclave et tu as intérêt à y mettre du tiens sinon je pourrais devenir ton enfer personnel. A la fin de ce mois tu sera vendu à un nouveau maître à qui tu devras obéissance. À tu bien enregistrer ou faut il que je te l'explique d'une autre manière ?
Je ne fais qu'imperceptiblement hocher la tête en guise de réponse. Mais attentif au moindre de mes mouvements il comprends que j'ai bien compris ce qu'il vient de me dire.
- Maintenant que c'est clair. Passons au règles. Déjà tu dois savoir qu'elles ne sont pas fixes, je peux en ajouter ou en retirer à n'importe quel moment. Première règle j'ordonne tu obéis. Deuxième règle tu me dois le respect. Troisième règle tu ne parles que si je te le demande. Quatrième, tu as interdiction de me regarder dans les yeux. Mais je pense que celle là tu la maîtrise déjà étant donné le nombre de fois où j'ai déjà dû te punir. Cinquième règles et ce sera tout pour le moment, ton corps et ton esprits m'appartiennent alors si je te demande de te donner à moi tu dois le faire immédiatement et avec envie.
Durant son monologue je comprends que s'ils ne font même plus attention à ne pas dire leur prénom devant moi. C'est parce qu'ils comptent faire de moi un véritablement objet. Une poupée bonne qu'a obéir. Sans personnalité ni pensée. Donc ne pouvant pas les balancer.
- Aussi comme tu as dû le comprendre je m'appelle Rick mais pour toi, le peu de fois où je t'autoriserai à parler ce sera maître et rien d'autre.
Cette règle m'arrange grandement, pas de l'appeler maître. Non pas du tout. Mais de ne pas devoir lui adresser la parole. C'est peut-être bête mais je me dis que si je ne lui parle pas, je ne lui donne pas accès à ce que je pense et donc à mon esprit.
C'est lamentable mais ça fait bien longtemps que mon corps ne m'appartient plus et là il veux posséder également mon esprit. Mais je ne suis pas prête à lui abandonner bien gentiment. C'est la seule chose qui me reste. Mon âme, elle est morte depuis longtemps, au même moment où j'ai perdu la possession de mon propre corps.
- Ah j'allais oublier, je ne peux pas te baiser pour l'instant car l'implant que nous t'avions mis arrive en fin de vie. Je vais donc devoir attendre tes prochaines règles qui ne devrait pas tarder pour t'en reposer un nouveau.
Le peu d'espoir et de soulagement que j'avais récupéré s'envole immédiatement. Déjà je m'étais habituée à ne plus avoir mes règles et de bientôt les avoir surtout dans ces condition ne m'enchante vraiment pas.
De plus il me dépossède d'absolument tout, ils arrivent même a avoir du contrôle sur la nature de mon corps. Cependant, je ne peux que les remercier de prendre des dispositions pour ne pas que je me retrouve avec un parasite dans l'utérus.
- Mais en attendant que tu redeviennes temporairement stérile, on peut débuter ton dressage. Et ça commence maintenant. À genoux. Je m'exécute rapidement ne voulant pas le contrarier de suite. Sois une bonne petite chienne et ouvre la bouche pour sucer ton maître.
Mais voyant que cette fois je ne m'exécute pas il me donne une gifle si forte que je tombe. Puis il reprend :
- Tu vas me sucer je te le dit et puisque tu sembles si réticente tu n'auras plus rien à manger jusqu'à ce que ce soit toi qui vienne me supplier de te nourrir d'un peu de mon foutre.
Puis il s'approche doucement, faisant durer le plaisir de me voir si vulnérable. Une fois à ma hauteur il déboutonne son jeans et en sort son sexe déjà bien tendu. Il se saisi de ma mâchoire et à l'aide d'une forte pression sur mes joues, il m'oblige à ouvrir la bouche pour y faire entrer son machin.
- Sens comme elle est dur d'enfin retrouver ta bouche de salope. Dit-il tout en s'enfonçant de plus en plus loin dans ma bouche maintenu grande ouverte par ses mains pouilleuses.
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J'espère que le chapitre vous a plu malgré tout.Si vous voulez venir discuter du chapitre, mon insta _cap_caps_.
Bisous prenez soin de vous à la prochaine 😘.
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Alzarsi | T.1
Romance" Alors que je faisais mes études pour devenir journaliste, mon grand frère un petit dealeur de cité en France à décidé de me vendre pour arrondir ses fins de mois. C'est pourquoi je me suis retrouvée dans cette cave attachée à un lit avec comme se...