Cinquante : Abandonnée

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❤ Surtout n'oubliez pas de lire la petite note, pas si petite que ça, à la fin et bien jusqu'au bout si vous ne voulez rien rater. ❤

Bonne lecture, profiter bien de ce chapitre car c'est le dernier 😘

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PDV Enola :

Je suis obligée de papillonner des yeux pour que mes paupières daignent rester ouverte. J'ai l'impression d'avoir dormis des jours et pourtant j'ai du mal a sortir du sommeil. Quand enfin j'arrive a garder mes yeux ouvert, je me rends compte que je ne reconnais pas la pièce dans laquelle je me trouve.

Je devrais paniquer mais mon cerveau est comme assommé, il est dans l'incapacité de se rendre compte du potentiel danger. En plus j'ai mal à la tête, un fond de mal à la tête vraiment très désagréable.

Qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour avoir mal comme ça ?

Comment suis-je arrivée ici ?

Que m'est-il arrivé ?

Je me concentre pour essayer de retrouver la dernière chose dont je me souvienne mais c'est étrangement flou. Je me rappelle que Lamario était vraiment pas sympa, à la limite de la méchanceté gratuite. Qu'il m'a emmené en voiture jusqu'à la première villa, celle dans laquelle je me suis réveillée.

Que après une seul nuit là-bas nous avons repris la route jusqu'à un aéroport. Je me souviens être montée dans l'avion, qu'il m'ait dit que nous allions en France, du décollage et puis plus rien. Je ne me rappelle pas du vol et encore moins de comment je suis arrivée dans cette pièce.

La brume qui embuer jusque là mon cerveau commence petit à petit à s'évaporer. Me permettant de mieux saisir la situation dans laquelle je me trouve. Je viens de me réveiller dans une petite pièce avec pour seul meuble le petit lit blanc sur lequel je viens de me réveiller et un petit bureau avec une chaise.

Tout est blanc, du sol au plafond et même ma tenu, je porte une espèce de tenu large entièrement blanche. J'en déduis donc que quelqu'un m'a changé ce qui ne fait qu'accélérer les battements de mon cœur. Il menace de plus en plus de sortir de ma poitrine. Et pourtant, je suis loin de faire une crise de panique. Je suis comme anesthésié du cerveau.

Putain !

Soudain je me souviens avoir déjà ressenti ce genre de chose. Et ce n'est absolument pas l'un de mes meilleurs souvenirs, bien au contraire. La première et dernière fois où je me suis senti comme ça, c'était lorsque je me suis réveillée dans la cave du Connard. Et si j'était comme ça, c'est parce qu'il m'avait drogué pour pouvoir me kidnapper. Ça signifie donc que la brute m'a drogué pour m'emmener je ne sais où.

Mais pourquoi aurait-il fait ça ?

Je le suivais et l'ai toujours suivi de mon plein gré, enfin si on oublie qu'il m'interdisait de partir. Mais ça ne change rien au faite qu'il n'avait pas besoin de me droguer pour m'emmener dans cette espèce de prison blanche.

Je ne comprends vraiment plus rien de son comportement. Mais j'arrête d'y réfléchir pour l'instant car me prendre la tête à son sujet, n'améliore pas du tout ma migraine.

En me redressant, je trouve un morceau de papier glissé sous le petit oreiller. D'abord dubitative je ne le touche pas mais ma curiosité prend le dessus sur ma méfiance.

Alors je m'en saisi et le déplie. Une feuille remplie d'une belle écriture me fait face. Je commence à lire mais bien vite la lecture deviens compliqué à cause des nombreuses larmes qui s'amasse au coin de mes yeux, rendant ma vision floue.

Alzarsi | T.1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant