Alzarsi | T.1

Quarante : À l'attaque

PDV Cassio :

Après deux jours de torture, j'ai pu lui arracher tous les ongles, planté des aiguilles dans chaque doigts, fait de multiple coupures pour finir. Lorsque la taupe à fini par balancer tout ce qu'il savait, je l'ai tabassé jusqu'à ce que sont corps ne soit qu'un amat de bleu et d'ecchymose. Nous savons donc où est-ce que ces connards étaient sensés emmener Enola et ce qu'ils comptaient en faire.

Dans un premier temps le bâtard l'a confié à l'un de ses hommes, son bras droit un certain Rick pour qu'il la transforme en véritable objet, pour qu'elle obéisse à n'importe quel ordre sans réfléchir. Autant dire que cet homme va goûter à mes meilleures techniques de torture pour avoir osé toucher à ma petite sauvage. Puis il a prévu de se rendre à la prochaine vente aux enchères pour la vendre au premier pervers qui mettra des milliers d'euro pour la baiser.

Ça m'en filerais presque la nausée tellement c'est dégueu.

Parce que bien que je ne sois pas un saint, bien loin de là. Je ne cautionne vraiment pas ce genre de chose. Si t'es trop moche pour qu'une femme veuille bien de toi t'as cas te payer une pute. Et non forcer et briser une belle et innocente jeune femme pour qu'elle accepte que tu lui fasse tout et n'importe quoi.

Je tue, je torture, je vole, je vends des armes et de la drogue mais jamais oh grand jamais je ne m'abaisserais à ce genre de pratique. Pourtant en terme de déviance sexuel j'en fais des choses, mais toujours avec des femmes consentantes.

Je laisse l'homme pour mort, chose qu'il est très probablement et ordonne à mes hommes d'aller l'enterrer lui, qu'il soit vivant ou mort ainsi que le cadavre du faible qui commence à emboucaner tout l'étage. Quand à Lilio et moi nous partons prendre une  douche rapide pour enlever tous le sang sur nous.

Nous n'avons pas beaucoup de temps pour agir. Lorsque ces fils de putes se rendront compte que leur infiltré ne répond plus, ils comprendront et déguerpiront. Anéantissant toute nos chances de retrouver un jour la sauvageonne. Mais nous ne pouvons pas pour autant nous précipiter. Ça pourrait aussi très bien être un piège et mort nous ne risquons pas de sauver grand monde.

Alors dans la douche et pendant que je m'habille tout de noir, je réfléchis à un plan d'attaque. Ils sont dans une maison de campagne à quarante-cinq minutes d'ici. D'après l'image satellite ils sont entourés d'une forêt et il n'y a pas de clôture d'enceinte, ce qui nous facilite grandement les choses.

Si les informations de la taupe s'avèrent exactes et toujours d'actualités, Filipo ne devrait pas être présent. Seulement son bras droit et une vingtaine d'hommes sont sensés y être pour empêcher toutes tentative de kidnapping de notre pars ou de fuite de celle de la sauvegeonne.

Sauf que dommage pour eux, je ne vais pas me contenter de récupérer Enola en la kidnappant discrètement. Non, je vais exterminer chacun des gardes et faire prisonnier le bras droit de ce batard pour pouvoir lui faire payer le mal fait à Enola, pour l'interroger et mettre définitivement fin au petit trafique du Bâtard.

* * *

Dans les SUV direction la maison où Enola est emprisonnée, je boue d'une satisfaction presque macabre à la simple idée de bientôt voir couler le sang de tous ces fils de putes. J'ai pris une cinquantaine d'hommes en plus de moi et Lilio pour être sûr de les dépasser en nombre.

Tous sont vétus comme moi tout de noir, d'un gilet par balle, d'un AK-47, d'un glock et de nombreuses munition ainsi que des lames. Quand à moi je suis bien évidemment accompagné de Raik, mon plus fidèle soldat. Lui aussi porte sa tenu de combat, un harnais par balle, un masque pour lui protéger les yeux et des chaussons au pattes pour ne pas qu'il se plante des bouts de verres dans les coussinets. C'est un peu ridicule mais sa sécurité passe avant tout.

Nous ne sommes plus qu'a une centaine de mètres de notre destination, alors nous arrêtons les véhicules et continuons à pied pour plus de discrétion. Armé de mon fusil j'avance à pas de loup pour ne pas me faire remarquer. Mon loup lui connaît sa place et reste pour le moment bien sagement entre mes jambes. Nos mouvements son tellement coordonnés qu'on pourrait croire que nous ne faisons qu'un.

Certains de mes hommes partent en éclaireur, tandis que d'autre restent un peu en arrière. Mais la majorité avance d'un seul homme dans mes pas. Lorsque nous arrivons à la lisière de la forêt, les éclaireurs ont déjà fait leur job et nous confirme qu'il n'y a pas plus d'une vingtaine d'hommes dans la villa.

Une fois que chacun a revérifié son équipement et que la communication entre les différents groupes sont établis, je lance l'assaut. Un groupe va rester caché dans la forêt en cas d'embuscade, un groupe va passer par la droite de la maison, un par la gauche et le reste avec moi par la porte d'entrée.

C'est Lilio qui défonce la porte d'un grand coup de pied et pénètre en premier. Pendant que mes hommes se chargent de tuer chaque âmes qui vivent et de capturer le bras droit de Filipo. Lilio et moi ne nous mêlons pas au combat qui fait rage. Nous nous contentons de tuer les ennemis qui se mettent sur notre chemin.

Nous traversons le salon à couvert des balles qui fusent dans tous les sens et réussissons à atteindre les escaliers menant à l'étage inferieure. Là où il est le plus logique de trouver Enola.

Au détour d'un couloir un homme me saute dessus alors sans perdre de temps je dégaine l'une de mes lames et lui plante dans son oeil gauche. J'ai à peine le temps de me débarrasser du corps, qu'un second s'approche dans le but de me planter. Mais il n'a pas le temps de m'errafler que je retourne son arme contre lui, lui la plantant directement dans le cœur.

Et pendant que j'étais occupé à le tuer un autre s'est glissé dans mon dos dans le but de m'étrangler. Enfin ça c'était sans compter sur Raik qui sans que je n'ai besoin de lui dire quoique soit, sens le danger et saute littéralement à la gorge de l'homme lui arrachant d'un seul coup de crocs.

- Toujours vivants ? Me questionne Lilio un grand sourire au lèvres, qui vient lui aussi de se débarrasser d'un homme d'une balle dans la tête. Simple et efficace.

Je lui fait un bref signe de la tête pendant que mon chien reprend sa place entre mes jambes pour que nous puissons continuer notre chemin. Nous arrivons dans un couloir remplis de cellule à droite et à gauche. Certaines contiennent des prisonniers, d'autre non mais c'est la numéro sept qui attire mon attention.

Un petit corps y est allongé, recroquevillé sur lui même dans un coin de la pièce. J'ordonne à Lilio de monter la garde tandis que je tire dans la serrure pour pouvoir ouvrir la porte.

Une fois la porte ayant cédé, je rentre doucement accompagné de Raik restant tout de même sur mes gardes. Une fois au niveau du corps inconscient, mon chien se couche à mes pieds signe qu'il n'y a pas de véritable danger pour le moment.

La fille que j'identifie tout de suite comme étant Enola et en sous-vêtements, les mains attachés dans le dos et bien qu'elle ne semble pas avoir autant d'éccymose que la première. Un liquide rougâtre immacule l'intérieur de ses cuisses. Me faisant immédiatement redouter une quelconque violence sur ses parties génitales.

---------------------------------------------------------
Pour ceux qui ne me suivent pas sûr insta, je m'excuse de ne pas avoir posté le chapitre hier. Mais si je ne l'ai pas fait c'est que lors de la correction j'ai rajouté plusieurs choses alors que le chapitre était déjà le plus long de tous. Or la il faisait carrément la taille de deux chapitres.

Donc j'ai préféré le séparer en deux. Mais du coups j'ai du remodifier tous les chapitres d'après. Et lorsque j'ai terminé il était plus de 23h alors j'ai préféré reporter le chapitre a aujourd'hui.

La bonne nouvelle c'est qu'au lieu qu'il y est 48 chapitres, il va finalement en avoir 50.

J'espère que ce chapitre vous a plu. Je reviens demain soir avec la suite.
Bisous prenez soin de vous 😘. Et surtout n'hésitez pas à venir me dm sur insta ou directement sur wattpad si vous avez des questions. (_cap_caps_ )