Chapitre 67 : La douleur d'un frère

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Pdv Kira :

Ça va faire environ 30 minutes que j'ai fini de discuter avec Merle. Je sais toujours pas ce qu'il lui a pris, il faudra que je lui demande.

Je rentre dans le bloc en essayant de retrouver mon père pour le convaincre de pas faire cette connerie. Quand j'arrive Daryl cours me rejoindre complètement paniqué.

Daryl : Tu sais où est Merle ?

Moi : Euh nan la dernière fois que je l'ai vue ça date de une demi-heure un peut près pourquoi ?

Daryl : Michonne et Lui ont disparu.

Moi : Quoi ?! Tu penses qu'il aurait pus lui même livrée Michonne ?

Daryl : Ouais c'est fort probable. J'ai prévenu Rick je vais les chercher.

Moi : Bien je viens avec toi.

Daryl : Nan hors de question c'est trop dangereux.

Moi : Justement, c'est trop dangereux. Daryl si il t'arrive quelque chose-

Daryl : Il m'arrivera rien je te le promet.

Je le prend dans mes bras, pendant que je le prends dans mes bras Daryl entrelacent nos doigts.

Moi : Fais attention à toi.

Daryl : Promis.

Il m'embrasse sur le front et part sur sa moto. J'ai compris maintenant tous ce qu'il m'a dit... Au cas où il meurent et moi j'ai même pas remarqué qu'il y avait un problème. Je le savais c'était pas normal qui sois autant sentimentale !

Pdv Daryl :

J'arrive enfin au lieu de la dernière fois. Je suis au moins soulagé qu'il est laissé Michonne. Je gare ma moto, et je vise avec mon arbalète. Il y a plusieurs mort, j'arrive à reconnaître certain mec du Gouverneur. Au moins il a réussi à en buter. Mais je suis quand même inquiet, ou est mon putain de frère ?

Je vais derrière le bâtiment, plusieurs rôdeurs sont entrain de bouffer des mecs. Je l'ai tués tous. Je m'approche du dernier rôdeurs, le rôdeurs se lève et mon sang se glacent. Nan... c'est pas possible. Personne ne peut tuer Merle à part... Merle...
Je sens mes larmes coulés sans que je puisse le contrôler.

Merle se dirige vers moi, mais je le pousse. Je le pousse le plus fort possible, il tombe et je me jette sur lui. Je lui met des vingtaines de coup de couteau dans le crâne.

Moi : Tu le savais ! Tu le savais que t'allait mourir ! C'était une mission suicide !

Je lui met tellement de coup de couteau qu'il devient méconnaissable. Je m'effondre par terre en pleurant, je suis pathétique putain !

Pdv Kira :

Ça va faire 1 heure que Daryl est partit chercher Merle, Michonne est revenu entre temps elle nous a expliqué que Merle l'avais laissé et qu'il était quand même partit.

J'entends une grille claqué, c'est Daryl. Il a les yeux rouges et gonflé comme si il avait pleuré longtemps. D'ailleurs je remarque qu'il n'y a pas Merle...

Daryl passe à côté de tous le monde et va dans notre cellule. On s'échange tous des regards, on a tous compris. Tous le mondes part se coucher sans rien dire. Je fais pareil, je rentre dans la cellule et je le vois par terre en boule entrain de pleurer.

Moi : Je peut entrer ?

Daryl relève sa tête et essuie ses larmes.
Je m'assois à côté de lui.

Moi : Tu peux pleuré... ce n'est pas une honte... Si tu as peur que je te juge, je peut te promettre que ce ne sera jamais le cas.

Il s'effondre en larmes, je le prend dans mes bras. Il pose sa tête contre ma poitrine pendant que moi je lui caresse les cheveux.

Moi : Ça va aller... On est là... Je suis là....

Plusieurs minutes se sont écoulés et on a pas bouger. Je continue à caresser les cheveux de Daryl. Lui il a réussi à se calmer, il pleure plus.

Moi : Aller tu dois dormir. Ça va te faire du bien.

On se lève tous les deux, il s'installe sur mon lit contre le mur. J'allais partir pour lui laisser un peu d'intimité quand il me dit d'une petite voix.

Daryl : Non, pars pas reste près de moi... s'il te plaît.

Il se décale de sortent à ce que je puisse m'allonger près de lui. Je m'installe, il remet sa tête sur ma poitrine puis enroule ses bras autours de ma taille.

Daryl : Reste près de moi, me lâche pas...

Moi : Je vais pas te lâcher, je te le promet. Je serais toujours là.

Je lui embrasse et caresse ses cheveux.

Il est environ 01h00 du matin et Daryl s'est enfin endormis. Je veux pas le laisser mais je dois faire quelques choses. Je reviendrais près de lui avant qu'il se réveille. Je me détache de lui. Je regarde mon mur, prend un marker noir puis commence. Après 4 heure j'ai enfin terminée. Je suis crevé mais ça en valait la peine.

Je retourne dans le lit et je me repositionne de la même façon que avant. J'ai l'impression qui me sert plus fort qu'avant mais peut importe. Il n'y a que lui qui compte.

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