Together Forever.

Chapitre 60 : Missions

Pdv Kira :

On rentre dans son appartement. Il y a énormément d'armes, de grenades et de médicaments. Carl, Michonne et moi commençons à prendre toutes les choses qui se trouvent devant nous quand mon père nous stoppe :

Rick : Poser ça ! On prend les armes et les autres choses que quand il sera réveillé !

Moi : Mais-

Rick : Il y a pas de "mais" poser ça.

Je jette les armes dans un coin de la pièce dans un fracas pas du tout discret.
Je m'assois en tailleur sur une caisse qui se trouvait au milieu et je prends un paquet de chips pour les manger. Mon père s'agenouille devant moi et me prend le paquet de chips de mes mains. Je lui parle la bouche pleine :

Moi : Qu'est ce qu'il y a encore ?

Rick : Parce que en plus on doit taper dans sa bouffe ?

Moi : Beh ouais.

Je lui récupère le paquet de chips et en remet dans ma bouche. En attendant que monsieur Morgan décide à se réveillé Carl,Michonne et moi allons dans la ville. Histoire d'aller faire un p'tit tour.

Rick : Bon Carl tu écoutes t'as soeur et Michonne clair ?

Carl hoche la tête et nous sortons de l'appartement. A peine on pose un pied dehors Carl se met à marcher beaucoup plus vite que d'habitude et il nous laisse Michonne et moi à la traîne.

Carl : Vous êtes pas obligé de m'accompagner. Je peut me débrouiller.

Moi : Carl tu es mon p'tit frère. Je dois te protéger.

Carl souffle et marmonne.
5 rôdeurs arrivent dans notre directions.

Carl : Je crois que vous devriez vous en occuper.

Michonne et moi hochons la tête et tuons les rôdeurs en deux, trois mouvements. Quand on se retourne pour aller voir Carl, il n'est plus là, il a disparu.

Moi : C'est quoi ce gosse qui n'écoute jamais rien !

Michonne ris, on court et on arrive à le rattraper. Michonne se passe devant lui et le prend par les épaules.

Michonne : Tu nous fais quoi la ?

Carl : Je veux faire ça tout seul.

Je tourne la tête, le magasin de bébé se trouve à notre droite. Pourquoi il n'y va pas ?

Moi : Il est juste la le magasin de bébés.

Carl : Il faut que je fasse un autre truc, d'abord. Vu ?

Michonne allait le rattraper mais je l'interrompt en l'aggripant par le bras. 

Moi : Carl !

Je cours pour le rejoindre. Il s'arrête. Je m'abaisse et lui met un couteau dans sa chaussure, et sous son t-shirt.

Moi : Je te laisse y aller.

Il me prend immédiatement dans ses bras.

Moi : Si maman me verrait entrain de te laisser aller dans une ville tout seul, elle me passerait un savon.

On rigole tous les deux et il me lance un sourire.

Moi : T'en parle pas a papa d'accord ? Il comprendrait pas. Parfois c'est au enfants de montrer la voie a leurs parents mais la papa n'accepterait pas.
Si il t'arrive quoique ce soit, tu cris compris ?

Carl : Je te le promet.

Il part pendant que Michonne et moi attendons devant le magasin de bébé.

Moi : Ils sont tous l'air de t'accepter, je suis contente.

Michonne : C'est grâce à toi, c'est toi qui a eu confiance en moi en première.

Moi : Ouais c'est vrai, je savais que tu n'étais pas méchante. Si tu l'aurais été tu n'aurais pas pris toute cette peine à ramener le lait pour Judith. Pourquoi tu as fait ça ?

Je vois une lueur de tristesse dans son regard.

Moi : Tu as un enfant pas vrai ?

Michonne : Ouais... et j'ai pas su le protéger de ce monde.

Moi : Je suis désolé...

Michonne : C'est rien, tu n'y ais pour rien...

On a continué à parler de longues minutes quand Carl revient avec un sac.

Michonne : Alors ? On va où mini shérif ?

Carl : J'ai repéré un bar venez suivez moi.

On hausse les sourcils en rigolant, puis on le suit. On arrive devant ce bar il y a au moins des dizaines de rôdeurs dedans. Carl allait entrer j'allais l'interrompre mais Michonne fut plus rapide que moi. Carl s'en va l'air furax.

Michonne : Tu croyais que j'allais te laisser entrer ?

Carl : Ça te regarde pas. Tu me connais pas.

Moi : Carl, Michonne a eu raison. Si elle l'aurait pas fait plus vite que moi, ça aurait été moi qui te l'aurais interdit.

Michonne : Je suis venu t'aider Carl.

Carl : Si tu es venu c'est parce que on a des intérêts communs. Parce que on a le même ennemi, le même problème. C'est uniquement pour ça que tu es venu, c'est tout. C'est un truc important d'accord. Je vais le faire. Vous pourrez pas m'en empêcher.

Mais qu'est-ce qu'il lui prend à ce gamin? Il est en crise d'ado ou quoi ?

Moi : Carl, on va le faire plus intelligemment d'accord ? Cette fois-ci ce n'est pas seulement toi et moi p'tit frère.

On prend un rat, on le met dans une cage et on le jette dans le bar. Tous les rôdeurs se jettent dessus, pendant que nous on rentre en douce. Carl monte sur un tabouret et prend une photo qui était en haut du comptoir, il allait donner la photo à Michonne quand un rôdeur lui attrape le pied, en une fraction de seconde, je plante mon kunaï dans son crâne.

On allait repartir quand un rat viens vers nous suivis de tous les rôdeurs.

Moi : Carl recule vite!

On part en direction de la cuisine, on allait sortir quand Carl fait tomber la photo.

Carl : NON !

On parvient à sortir du bar. Je ferme la porte juste derrière moi.

Carl : Faut qu'on y retourne !

Moi : Ou est-ce qu'elle est ?

Carl : On doit y retourner on a pas le choix. Je dois y retourner ! C'est la seule de nous quatre qui reste !

Michonne : j'y vais je m'en charge, je vous laisse pas le choix.

Moi et Carl attendons que Michonne reviennent avec la photo. Quelques petites secondes après la revoilà avec la photo dans les mains.

Moi : Bordel, tu es allé super vite !

Carl me montre la photo. C'est une photo avec Carl petit il devait avoir 5 ans, moi à côté de Carl qui lui fait un câlin, ma mère a ma droite qui nous tient dans ses bras (moi et Carl) et mon père a gauche de Carl.

Carl : Je... Je me disait que Judith devrait savoir à quoi ressemblait maman.

Moi : C'est une très bonne idée.

Je l'embrasse sur la joue.

Carl : Merci Michonne.

Michonne : J'y serais retourner de toute façon.

Je la rgarde incrédule. Qu'est-ce qu'elle raconte.

Michonne : Je ne pouvais pas abandonner ce chef d'œuvre.

Elle nous montre une statue en chat multicolore. Cette statue est affreuse. On se met tous à rire.