- Bonsoir monsieur et madame London.- Bonsoir, tu dois être l'ami d'Ema.
Rentre je t'en prie... put dire la mère d'Ema sûrementEdmon rentra donc dans leur maison et put être accueilli par les propriétaires qui étaient très aimables
Il se rappelait cet homme qui l'avait bousculé la dernière fois et se trouvait bien bête de n'avoir pas pensé à ça directement. C'était donc le père d'Emawari... et sa mère était d'une beauté. Emawari n'avait pas volé
Elle avait la beauté de ses parents et les cheveux blonds de son père
- Alors jeune homme, que fais-tu dans la vie... entendit Edmon, de madame London, le faisant rire légèrement
- En plus, il a le sens de l'humour.
Faite attention à vous surtout... dit monsieur London ayant vu Ema descendre rapidement- Voilà je vous ai préparé deux sacs. Faite attention à vous et hydratez-vous surtout. Il y a de la crème hydratante, de quoi tenir trois heures, aussi pour des amuses bouches.
Soyez à l'abri, ne jouez pas trop sous le soleil et- C'est bon, ils ont compris chérie... dit monsieur London les faisant rire.
Faîte attention à vous et on vous surveille même de loin... dit ce dernier faisant sourire Ema qui fit un au revoir à ses parents, avant de partir avec Edmon qui leur promettait de veiller sur elle- Ils sont trop mignons, j'ai pris une photo... murmura monsieur London
- Bien joué.
On va leur donner chacun un exemplaire... dit madame London en refermant toute souriante*
- Tes parents sont très aimables.
- Oui. J'ai beaucoup de chance de les avoir.
- Oui, tu n'imagines même pas... dit-il en marchant près d'elle.
Le ton qu'il avait employé l'interpella immédiatement
- Tes parents, ils sont
- Ils sont en vie ne t'inquiètes pas... dit-il la faisant sourire, soulagée
- Mais pourquoi tu parles si tristement d'eux
- J'aurais bien voulu avoir des parents aussi attentionnés.
Tu vois ? À tes petits soins.
Mais bon, les miens ne sont jamais à la maison. Je peux sortir et rentrer à une heure tardive, qu'ils n'en sauront rien- Vraiment ?
- Je suis un homme... disent-ils.
Je ne manque de rien, je n'ai pas à me plaindre.Elle se pinça les lèvres, désolée pour lui
- Mais ç'a quand même son côté positif. Je suis libre comme l'air.
Je ne dirai pas qu'ils ne m'aiment pas, non, chaque matin, ma mère me fait le petit déjeuner, le frigo est plein, je n'ai qu'à faire le reste tout seul.
Quand je leur parle de cela, ils trouvent que j'abuse et que je devrais être reconnaissant du luxe dans lequel je me trouve.
Le luxe pour un enfant de mon âge, c'est bien d'avoir ses parents près de lui à lui montrer qu'ils l'aiment. Pas avec de l'argent, mais avec des gestes tendres, tu ne penses pas ?Sans voir venir, il sentit des mains autour de lui, comme l'enlaçant
Il resta statufié
- S'ils ne te font pas assez de câlin, je les ferais à leur place... murmura-t-elle si bas, que si ce n'était le calme de la rue, il ne l'aurait entendu
Elle se détacha de lui et lui sourit
- Je t'approvisionnerai en câlin, et eux en ce qu'ils peuvent. Dit-elle toute souriante, lui faisant froncer les sourcils.
J'en reçois beaucoup, je peux partager avec toi- Je...
- Ça se voit que tu n'es pas habitué, mais il faudrait savoir.
Il y a une minute, tu te plaignais de ne pas avoir assez de câlin et maintenant, tu es perdu parce que je t'ai dit que je t'en donnerai.
Ou, tu ne veux pas que je t'en fasse ?- Bien sûr.
Euh, je veux dire...
Boff fait ce que tu veux... dit-il d'un ton qui se voulait détacher, la faisant sourire- Alors, je ne te lâcherai plus, tu es prévenu.
- Il n'y a pas longtemps, tu me traitais de petits garnements et maintenant
- Et maintenant, je veux te traiter comme une grande sœur traitera son petit frère
- Une grande sœur n'est-ce pas ? Intéressant... dit-il
- Oui, une grande sœur. Petit garnement
À cette affirmation, il sourit légèrement
Elle avait plusieurs facettes de ce qu'il voyait...
Toi et moi, on sera tout sauf frère, je peux te le promettre... Emawari London. Donne-moi du temps
- Il ne faudrait pas que des années plus tard, le petit frère
- Ça ne risque pas d'arriver.
Allé, marche plus vite, à ce rythme, on n'arrivera jamais... dit-elle le faisant rireIls passèrent ce jour-là, tout leur temps à s'avouer leurs plus grands rêves, leur défaut, leur qualité. Ils s'amusèrent et purent rentrer deux heures plus tard, heureux d'avoir, chacun, un(e) nouvel (le) ami(e).
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Le secret d'Emawari London
Storie d'amoreEmawari, grand mannequin très prisée, est source d'inspiration pour nombreuses filles, notamment celles passionnées par la mode. Autant une source d'admiration, elle est aussi très enviée par certaines, surtout dans le métier, étant le chouchou de...