VI. - Si tu perds tu me dois un date ! - Et si tu pers tu me dois une glace.

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Samedi 2 juillet 2022 

Il est 16h30 lorsqu'on atterris. Il fait super chaud et pourtant Chris décide d'enfilé un gros manteau qui remonte jusqu'à son menton. 

- Ici, les gens me parle plus facilement parce qu'il parle ma langue. me confie-t-il. Alors plus je peux passer incognito mieux c'est. 

Nous sortons de l'avion pour aller chercher les bagages. Lorsque nous passons la porte juste avant la salle ou nous devons récupérer nos valises, nous sommes contrôler. 

- Veuillez retirer vos lunettes et votre casquette. nous ordonne un gardien en anglais. 

Chris obéit immédiatement puis les remet brusquement. 

- C'est bon ? grommelle-t-il. 

- Ça ira. 

Moi il ne me force pas, avoir vu Chris comme ça doit lui suffire. 

- Très bien. Allez-y. 

Nous récupérons nos bagages puis Dodger et nous sortons de l'aéroport. L'air de juillet fouette mon visage, je souris. Chris est vraiment fou de m'avoir emmener ici alors que je suis malade. Il m'a dit qu'il aller me faire profiter. Profitons.

- On va passez chez moi, puis on ira promener Dodger, après le trajet je crois qu'il en a vraiment besoin. J'en profiterez pour te faire visiter le centre-ville. m'explique Chris.

Nous prenons le premier taxi possible qui accepte les chiens et Chris offre son adresse au chauffeur. A l'arrière sa main trouve encore une fois ma cuisse, pourquoi ? Je suis mariée, je ne peux pas me permettre ça. L'appart de Chris n'est pas très loin et le trajet est court. Dans l'ascenseur nous croisons une de ses voisines. Chris lui fais la bise. 

- Ta mère est passer. La semaine dernière. lui dit la voisine. Elle avait l'air énerver. Qu'est-ce que ta encore fait ?  

Chris se passe une main sur le visage.

- Il se peut que j'ai ignoré plusieurs de ses appels. 

- Salle gosse. murmure la voisine en quittant l'ascenseur.

Je mets une tape sur le bras de Chris. 

- C'est vrai ça, salle gosse. 

L'acteur emprisonne mon poignet dans sa main qui tient la laisse de Dodger, surement dans le but de me le faire payer. On a trente et quarante ans mais au fond on est encore des vrais gamins. Il s'arrête avant de faire quoi que ce soit. 

- Tu la mit. constate-t-il en voyant le bracelet. 

- Bien sûr. 

Chris détache Dodger et ce dernier se précipite vers l'appart. Quand je rentre dedans je suis étonné. Il est incroyablement propre pour un appart de célibataire, l'acteur ne dois pas être souvent là. Les seuls choses qui traine par terre sont les jouet de son chien qui, heureux de les retrouver, joue avec. 

- Tu veux te reposer ou on y va ? m'interroge-je Chris. 

- J'ai assez dormis dans l'avion. Je suis pas en sucre. 

Mon ami rappelle son chien et nous quittons l'immeuble. Dehors il fait super chaud, ce n'est plus le climat montagnard et je ne serais pas étonné si l'on me dit qu'il fait 42°C. Je prends la laisse de Dodger dans ma main droite et je me met à courir, j'aime cette sensation de vitesse, j'aime être libre. Chris s'élance après moi. 

- Si je te rattrape tu ne recoure pas ! hurle-t-il. 

J'accélère mais il se trouve que je ne connais pas la ville, que j'ai un cancer du poumon ce qui diminue mes capacité respiratoire et qu'en plus d'aller super vite Chris a beaucoup d'endurance. Je ne pouvais que perdre. 

N'oublie jamais qui tu es /CHRIS EVANS/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant