XXVI. Tu as un grand cœur.

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Mardi 2 Septembre 2022...

Je sens Chris bouger sous ma tête. 

- Qu'est-ce que tu fais ? grommelais-je. 

Il me caresse les cheveux. 

- Je te réveille mon ange ? me demande-t-il tendrement. 

- Oui. répondis-je. Mais c'est pas grave t'inquiète. 

Je ne me redresse pas pour autant, je regarde juste ce qu'il fais. Il est sur son ipad et tape quelque chose sur google doc. 

- Tu fais quoi ? 

Il penche la tête vers moi et me vole un baiser avant de répondre :

- Tu te souviens quand tu m'as parlé de créer une association avec l'argent que tu avais pour aider les gens comme toi ? Au States ?

Je ne vois pas où il veux en venir. 

- Oui... 

- Je voudrais qu'on en reparle. J'était en train de créer une fiche qu'il faut qu'on la remplisse.

Je comprend mieux maintenant. Il veux m'aider à mettre en place mon projet, je l'en remercie. 

- Pour commencer qu'elle sera le but de cette association ? Entreprise ?

- Je veux que ce soit gratuit ou presque, je veux offrir une dernière vie aux personnes mourante de cancer. 

Chris hoche la tête, je crois qu'il comprend ce que je veux faire. 

Nous passons plus d'une heure sur le projet, la manière de le financer et à la fin, la fiche donne ça :

Nous passons plus d'une heure sur le projet, la manière de le financer et à la fin, la fiche donne ça :

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Je suis plutôt contente de ce que ça donne. Chris s'excuse pour les fautes, il a écrit vite.

- C'est pas grave Chris. le rassurais-je.

Je me lève et je m'étire, une sieste puis une heure courbé sur un ipad, je n'en peux plus. J'attrape mon chariot sur lequel se trouve ma bouteille d'oxygène et je vais dans la cuisine me chercher un verre d'eau. Chris se glisse derrière moi et passe bras autour de ma taille. Il pose un bisous sur mon crane. 

- Tu as un grand cœur. me dit-il. 

Oh... je ne m'y attendais pas. 

- Non. Je veux juste que ceux à qui il ne reste plus beaucoup de temps profite. Toi tu es là pour moi mais il y en a qui sont tous seul Chris. Je veux les aider. 

- C'est bien ce que je dis. répète-t-il. Tu as grand cœur. 

- Je te laisse un fardeau. 

- Un fardeau ? Non, tu me laisse un moyen d'aider des gens. De les faires sourire. C'est le plus beau cadeaux que tu puisse me faire. 

- Je veux que ce sois aussi un moyen de te faire sourire toi. 

Je pose mon verre et je me tourne vers lui, il pose un bisous sur mon nez comme à son habitude. 

- Il faudrait qu'on choisisse une date de mariage. déclare-t-il me prenant au dépourvus. Et puis aussi qui viendra, qui tu veux comme témoin. 

Quel question ? Se sera Emilya bien sur. 

- Que dis-tu du 24 décembre ?  proposai-je. 

- Reveillon de noël ? C'est une bonne date. approuve-t-il. 

- Quand à mon témoin se sera Emilya sans aucun doute. Et le tient Seb je suppose. 

Il hoche la tête. Nous avons encore des question à régler mais nous n'avons pas le temps d'approfondir, quelqu'un sonne à la porte. Les invités surprises se multiplie ces derniers jours. J'aimerais passer du temps juste avec Chris mais la sonnette n'arrête pas de retentir. J'espère que je ne regretterais pas d'aller ouvrir. Dans le salon Cap grogne puis aboie comme s'il ne voulait pas de se nouvel arrivant. 

- J'y vais. soupirai-je. 

Au fond de moi je pris pour que ce ne sois qu'un livreur et que j'ai l'après midi de libre pour profiter de Chris. La porte s'ouvre sur un homme, une petite fille, un petit garçon. 

- Bonjour. hésitai-je. Qui êtes-vous ? 

L'homme ouvre grand les bras :

- C'est moi. C'est tonton Laurent. 

Je pose une main sur ma bouche, c'est impossible. Il était en Amérique. Je me jète dans les bras de mon oncle avant de me détacher et de regarder les deux enfant. 

- Et se sont mes cousins je suppose. 

Mon oncle hoche la tête. 

- Anna et Tommy. 

- Salut vous. leur dis-je doucement en ouvrant les bras. 

Il n'hésite pas et vienne se serrait contre moi. 

- Papa nous a beaucoup parler de toi. me confie Anna, la plus grande. 

- Vraiment ? 

- Oui, depuis qu'on est tout petit il nous a toujours dit : "Un jour je retrouverais Charlie, je me ferais pardonner et je ne l'abandonnerais plus. C'était ma nièce et c'était la seule sensé de cette famille de fou. Je l'aimais beaucoup."

Je souris. Je ne suis pas étonné de mon oncle. Chris arrive. 

- Ha Laurent ! Bonjour. dit-il. 

- Bonjour Chris. Merci. Merci beaucoup. 

Les deux hommes échangent un poignet de main. 

- C'est toi hein ? demandai-je à Chris. 

- Oui. J'ai gardé son numéro après la voiture en panne. 

- Merci. 

--------------------------- ellipse d'une verre ------------------------------------- 

Je caresse mon shiba qui s'est installé sur mes genoux. Dodger dors dans notre chambre comme à son habitude. Je regarde mon oncle. Je ne sais pas combien de fois je vais devoir l'annoncer mais les cousinades partie ça peut-être cool et je ne veux pas privé mes cousins d'une petite cousinade partie. 

- J'ai plusieurs chose à te dire tonton. 

- Je t'écoute ma Charlie. 

Pour la première chose il me suffit de lui montrer ma magnifique bagne de fiançailles. 

- Non...

- Si. 

- Félicitation. Je vous souhaite tout le bonheur du monde. 

- Merci beaucoup. 

- Merci Laurent. dit Chris assis à côté de moi, une main sur la tête de Cap. 

La deuxièmes je triture mes mains, mon oncle le voix. Il n'a pas oublier cette vieille manie que j'avais quand j'était gosse. 

- Allez crache le morceau. 

- Je suis enceinte. 

Anna pousse un cri de joie et bondit de sa chaise. 

- Doublement félicitation alors. nous dit mon oncle encore sous le choc. 

Je souris en voyant Anna donner une tape sur la tête de son frère puis courir dans toute la maison en hurlant :

- On va avoir un petit-cousin ! On va avoir un petit cousin !

N'oublie jamais qui tu es /CHRIS EVANS/Où les histoires vivent. Découvrez maintenant