N'oublie jamais qui tu es /CHRIS EVANS/

XXXVI. Bonne année !

Samedi 31 décembre 2022/ Dimanche 1 janvier 2023...

Je sais que la mort approche à grand pas. Mes crises sont fréquente. J'en ai refais trois en six jours et ce j'espère ne pas en faire une ce soir car c'est le nouvelle an. Lisa, Shanne et Emilya m'ont aidé à tous préparé. Ma meilleure amie est à son huitième mois de grossesse et moi mon sixième, nos ventre ont grossis et nos deux hommes font la même chose s'occuper beaucoup trop de nos petit ventre. Chris s'occupe aussi de moi pas que de mon ventre, c'est un ange. 

J'étale la patte pour la tarte au citron et Lisa s'approche pour me donner le plat. Sans faire exprès elle m'éclabousse de farine. 

- He mais ! protestai-je en riant. 

J'attrape une poignet de farine que je lui lance dessus. Certes c'est ma belle-mère mais je sais que je peux faire ça sans qu'elle ne m'en veuille. Lisa rigole puis me rend la monnaie de ma pièce. De nouveau de la farine m'atteins mais en plus d'être atteins au visage, je suis atteinte au niveau des cheveux. Je me retourne, Scott est derrière moi, les mains pleines de farine. Alors là ! Il l'aura chercher. Si je n'avais pas eu de canule je me serais jeter derrière lui et j'aurais plonger sa tête dans la farine mais mes mouvements sont restreint alors je ne peux pas. Si ce n'est pas la tête qui va dans la farine se sera la farine qui ira dans la tête. Je prend le paquet de farine et je lui balance au visage. On en rachètera un ce n'est pas grave. Scott reste immobile, l'air choqué. Lisa n'arrête pas de rire tout comme Shana qui est derrière moi en train de terminer la crème au citron. Elle me félicite :

- Bravo Charlie ! Tu as réussi à toucher Scotty. 

- Ne m'appelle pas comme ça. gronde Scott toujours sans bouger. 

Soudain il rassemble la farine et d'un geste net me l'envoie dessus sauf... Sauf qu'elle ne m'atteins jamais. Je retire mes mains que j'avais porter à mes yeux pour me protéger et la seul chose que je vois c'est le corps de Chris entre moi et la farine. Lorsqu'il parle sa voix est grave, si je ne le connaissais pas je ne pourrais pas déceler l'étincelle d'amusement. 

- On ne ta pas dis de ne pas embêter les femmes enceintes ?

Emilya hoche la tête. 

- Ca c'est vrai !

Le visage de Scott est gagné par une fausse peur, il tourne les talons et quitte la cuisine en courant et en criant tel un comédien. Nous le regardons faire en silence puis nous échangeons des regards avant d'éclater de rire. Jared passe la tête par l'embrassure de la porte et nous demande :

- C'est normal que Scott est traversé la pièces tel une furie ? 

Cette question ne fais qu'accentuer notre rire et l'incompréhension de Jared. 

--------------------------- ellipse de quatre heures ------------------------------------- 

Tout les plats sont sur la table, l'apéro est fini, nous entamons le repas. Scott s'est calmé mais il n'approche pas son frère et l'évite à tout pris. Bien que mon mari sache que c'est pour rire le comportement de son frère l'énerve. Quand Scott s'assoir, Chris lui offre un sourire machiavélique et pose sa main sur ma cuisse, son frère se permet de lui tirer la langue. Je souris, ils sont pires que des gosses. Nous mangeons tous autant que nous pouvons, nous profitons de ce moment tous ensemble. 

Au moment ou le téléphone de Bob sonne 23h55, nous venons de débuter le dessert. Tout le monde prend son assiette et nous nous mettons dans le canapé. Comme il n'y a pas assez de place Carly, Scott, Jared et Bob se mette par terre. Chris m'encercle de ses bras tandis que Lisa allume la télé. Le décompte commence.

10.

9.

8.

7.

6.

5.

4.

3.

2. 

1.

0.

- BONNE ANNEE !

 Nous nous serons dans les bras, nous nous souhaitons la joyeuse année et nous sourions tous. Chris me serre aussi fort qu'il le peut et il m'embrasse. 

- Je t'aime ma Charlie. 

- Moi aussi Chris. Moi aussi je t'aime. 

Ce moment magique est brisé par un cris d'Emilya. 

- JARED ! hurle-t-elle. 

Ce dernier se précipite à ses côtés. Emilya est arrivé a terme. Son bébé va naitre, elle vient de perdre les eaux. 

- Je l'emmène à l'hôpital ! s'écrie Jared en soutenant ma meilleur amie. 

- Je rassemble ses affaires et on vous rejoins. 

Chris m'aide à fourrer des affaires à Emilya dans son sac, on trouve aussi quelques affaire pour nouveau-nés et des affaires de toilettes. Il nous faut environ une trentaine de minute pour rassembler les affaires et nous rendre à l'hôpital. Nous patientons une quinzaine de minute à l'accueille avant de faire face à la secrétaire. 

- Bonjour. dit-elle.

Oula, sa lenteur va m'énerver je sens. 

- Bonjour, nous venons voir Emilya Jones. 

Ses doigts s'active sur la clavier de son ordinateur et au bout de cinq minutes elle annonce. 

- Admise dans le service maternité il y a vingt minute, le travail à commencer, son bébé ne devrait pas trop tardé. Rendez-vous dans la salle d'attente numéro 2, coté maternité. 

- Merci. m'écriai-je un peu trop vite. 

Le sac d'Emilya sur le dos, Chris à mes côtés, mon chariot dans l'autre main, la famille Evans sur mes talons je m'élance à l'endroit indiqué par la secrétaire. Je m'assoie sur une chaise. Chris me massasse l'épaule en affirmant :

- Tout va bien se passer. 

Je le crois, le bébé d'Emilya à beaucoup plus de chance de survie que le mien. 99% pour ma meilleur amie contre 75% pour le mien. Les chances de survie de mon bébé ont légèrement augmenter depuis mon accident mais les médecin préfère ne pas s'avancer trop vite. Le placenta a été décollé, ce n'est pas quelques chose à prendre à la légère. Je sers mes mains l'une contre l'autre. Les massages de mon homme me détende plutôt rapidement. 

--------------------------- ellipse de neuf heures ------------------------------------- 

Je suis réveillé par quelqu'un qui me secoue l'épaule. Le soleil s'est levé et il fait maintenant jour dans la salle d'attente. Chris me désigne une forme devant nous. Il me faut quelques seconde pour pouvoir distingué la personne qui s'avance vers nous. C'est Jared. Il est fatigué mais son sourire fait plaisir à voir. Lorsqu'il arrive à notre hauteur il déclare avec fatigue dans un soupire :

- C'est un petit garçon. Nous l'avons appelé Esteban Jones.