𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 26 - 𝓛𝓪𝔃𝓪𝓻𝓸

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-Lazaro ? Souffle Evie avec étonnement. Vous êtes là ? Reprend-elle au bout d'un moment.

Assis dans le fauteuil en velours, mon regard glisse le long de son corps, je dévore du regard ma proie avant de la dévorer toute entière dans quelques minutes.

Son soutien-gorge à strass fait ressortir sa poitrine et ce string qu'elle porte met tellement en valeur ses jambes.

Elle regarde autour d'elle, se tournant vers la porte qui s'est refermée derrière elle il y a quelques minutes, puis elle commence à paniquer.

-Sortez moi de là s'il vous plaît ! Me supplie-t-elle avec pitié. Sortez-moi de là avant que le client n'arrive, je vous en prie.

Je continue à la regarder paniquer avant de me lever de mon siège en posant mon verre sur la table passe.

-Quel client, corazoncito ? Demandé-je enfin.

Elle bafouille en regardant autour d'elle et je passe ma main sous son menton pour croiser mon regard.

-Tu crois vraiment que je laisserais un homme te toucher à ma place ?

Je fais claquer ma langue sur mon palais et glisse mes mains sur sa taille fine.

-Tu es là pour moi, et je suis là pour te faire plaisir. Il est l'heure d'assumer les conséquences de tes provocations des dernières semaines. Si tu veux tout stopper, il suffit de me le dire, et je te laisserais partir, ce qui n'est pas le meilleur scénario je te l'avoue.

Elle déglutit et frotte sa main sur sa cuisse en me regardant légèrement effrayée.

-Il ne fallait pas croire que j'allais te laisser me provoquer pendant autant de temps sans en assumer les conséquences.

Je glisse ma main de sa poitrine à son cou et elle ferme fortement les yeux.

-Laisse-toi aller corazoncito, comme la semaine dernière. Je ne te ferais aucun mal, bien au contraire, et si tu ne veux vraiment pas, alors je te raccompagnerai sans discuter.

Je la plaque doucement contre le mur et embrasse la douceur de son cou en laissant glisser ma main sur son corps soyeux à la tentante odeur de monoï. Elle frissonne lorsque je remonte ma main dans son dos pour rejoindre la fermeture de son haut. Je défais les agraphes et libère ses seins gonflés de désir où ses tétons pointent immédiatement.

-Vous n'avez pas le droit de me payer pour ça, je ne suis pas une prostituée, s'exprime-t-elle en tentant de me repousser.

-J'ai juste payé pour la chambre. Je suis sûr que tu n'aurais pas accepté de me suivre jusqu'à chez moi pour ça.

Elle me regarde assez mitigée et je l'embrasse pour couper court à la discussion. Elle ne répond pas à mon baiser, mais finit par y répondre lorsque je glisse une main sur sa poitrine. Je pince son téton et un léger gémissement lui échappe. Je reproduis la même chose avec l'autre et continue mon chemin vers le bas de son corps.

Je détache les ficelles de son string et le laisse tomber au sol en lui demandant d'écarter légèrement les jambes, ce qu'elle fait immédiatement.

Je rencontre la ficelle de la boule de Geisha dans l'humidité de son sexe. Je passe un doigt sur son clitoris et elle sursaute légèrement.

Evie semble tiraillée entre le fait qu'elle peut et veut avoir cette relation, et le fait que c'est contre ses valeurs.

Je masse doucement son clitoris pour la faire languir et elle me regarde intensément. Je croise son regard en levant un sourcil d'interrogation.

The Golden Cage - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant